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Un responsable de l'Hôpital national de Cox's Bazar, Abdul Salam, a déclaré lundi que les autorités du Bangladesh ont entamé une campagne de vaccination visant plus de 150 mille enfants musulmans Rohingyas.
La campagne vise à vacciner les enfants contre la rougeole, la rubéole, la polio, la grippe et la pneumonie, a-t-il ajouté.
De nombreux enfants dans les camps de réfugiés de la ville de Cox's Bazar souffrent de diarrhée, de déshydrations et de maladies de la peau, a-t-il souligné.
Pour sa part, le représentant au Bangladesh du Fonds des Nations Unies pour l'enfance (UNICEF) Edouard Beigbeder, a déclaré que de nombreux enfants souffrent de malnutrition et de maladies infectieuses, en particulier de la rougeole.
Le responsable a souligné la faiblesse des mesures préventives dans les camps, mettant en garde contre une pandémie.
De leur côté, les autorités bangladaises ont interdit aux Rohingyas de quitter les camps et de se mêler à la population locale, dans une mesure destinée à éviter la propagation de maladies.
Le 25 août 2017 a marqué le durcissement de l'oppression contre les Rohingyas par l'armée birmane et les nationalistes bouddhistes. Depuis cette date, 370 000 musulmans Rohingyas se sont réfugiés au Bangladesh portant le nombre de réfugiés Rohingyas à 770 mille, selon les dernières données du Haut-Commissariat des Nations unies pour les Réfugiés (HCR).
La campagne vise à vacciner les enfants contre la rougeole, la rubéole, la polio, la grippe et la pneumonie, a-t-il ajouté.
De nombreux enfants dans les camps de réfugiés de la ville de Cox's Bazar souffrent de diarrhée, de déshydrations et de maladies de la peau, a-t-il souligné.
Pour sa part, le représentant au Bangladesh du Fonds des Nations Unies pour l'enfance (UNICEF) Edouard Beigbeder, a déclaré que de nombreux enfants souffrent de malnutrition et de maladies infectieuses, en particulier de la rougeole.
Le responsable a souligné la faiblesse des mesures préventives dans les camps, mettant en garde contre une pandémie.
De leur côté, les autorités bangladaises ont interdit aux Rohingyas de quitter les camps et de se mêler à la population locale, dans une mesure destinée à éviter la propagation de maladies.
Le 25 août 2017 a marqué le durcissement de l'oppression contre les Rohingyas par l'armée birmane et les nationalistes bouddhistes. Depuis cette date, 370 000 musulmans Rohingyas se sont réfugiés au Bangladesh portant le nombre de réfugiés Rohingyas à 770 mille, selon les dernières données du Haut-Commissariat des Nations unies pour les Réfugiés (HCR).
