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Le numérique est non seulement un facteur d’inclusion permettant d’améliorer l’accès à l’information, à la culture, à l’éducation, au e-learning, aux objets connectés et au paiement mobile.
Il permet également de réaliser d’importants gains de production et le développement de nouveaux usages (e-commerce), générant d’importantes entrées d’argent.
Cette évolution pose inévitablement la problématique des enjeux majeurs à relever pour la transformation digitale sur le continent.
Réunis à Abidjan, dans le cadre de la 2è édition «des Rencontres Africa», les 2 et 3 octobre, des experts français et africains ont esquissé, deux jours durant, des pistes de solutions futuristes.
Au niveau sécuritaire, Patrick Mbengue, président du Groupement des Opérateurs du Secteur des Technologies de l’Information et de la Communication, de la Côte d’Ivoire, a mis en évidence quatre enjeux majeurs à relever.
«Le premier enjeu consiste à avoir des logiciels up to date. Le deuxième problème qu’on avait constaté c’était la sécurité des infrastructures sur lesquelles opèrent les entreprises, et les systèmes d’informations.
Il y a du travail au niveau de la sensibilisation et de la mise en œuvre des bonnes pratiques en matière de sécurité des infrastructure.», estime-t-il.
«Ensuite, il y a la vulgarisation et la sensibilisation. Les acteurs sont encore en train de mettre des mots de passe sur les postes. Il y a de nouvelles formules de sécurisation d’accès sur les applications qui peuvent être biométriques. Là encore, il y a des efforts à faire.
Et puis, il y a des bonnes pratiques en matière de gouvernance, il faut qu’on mette en place un certain nombre de recommandations sur la mise en œuvre des démarches ISO, pour permettre aux entreprises d’intégrer ses bonnes pratiques dans le pilotage de leur système d’information en vue de garantir une sécurité optimale», propose-t-il.
Opportunité dans le libre cloud
Sur le plan de l’innovation digitale, Salwa smaoui, Directrice de la région Afrique et Moyen-Orient de Microsoft, estime que l’Afrique, aujourd’hui, a une opportunité de se lancer dans le libre Cloud.
«L’Afrique a une opportunité, aujourd’hui, de faire un libre Cloud. Bouger dans un Cloud qui propose la confiance, nous permettra d’aller plus rapidement que les autres pays.»
Bruno Mettling, Directeur Général Adjoint, de la Zone Afrique et Moyen-Orient, pense que les Data-centers sont les infrastructures clés de demain.
«Les data-centers sont les infrastructures clés de demain, parce que le nouvel or noir du numérique c’est la data. On est au début, mais on va se rendre compte progressivement dans les années qui viennent de l’importance de l’utilisation intelligente des data», soutient-t-il.
Pour lui, «encourager la digitalisation et la numérisation doit réduire les charges et être un centre d'économie de coûts».
Alexandre zapolsky, DG linagora pense que «Les futurs enjeux de la transformation du numérique doit être basée sur le co-développement pour mailler nos économies».
«Il faut aider la jeunesse africaine à la transformation du numérique en construisant notre propre économie numérique. Il faut innover pour arriver à une dématérialisation des données», soutient-t-il.
Le ministre ivoirien, de la communication et des TIC Bruno Koné insiste, pour sa part, «sur l'importance du capital humain dans la transformation du Numérique».
«Pour faciliter les usages dans l'accès aux services, il faut de la confiance.
Il faut de la confiance pour une bonne transformation du numérique», a insisté, Fabien Lepelletier DG, de la société Gemalto Côte d’Ivoire, comme contribution.
L’avenir en dépend…
Il permet également de réaliser d’importants gains de production et le développement de nouveaux usages (e-commerce), générant d’importantes entrées d’argent.
Cette évolution pose inévitablement la problématique des enjeux majeurs à relever pour la transformation digitale sur le continent.
Réunis à Abidjan, dans le cadre de la 2è édition «des Rencontres Africa», les 2 et 3 octobre, des experts français et africains ont esquissé, deux jours durant, des pistes de solutions futuristes.
Au niveau sécuritaire, Patrick Mbengue, président du Groupement des Opérateurs du Secteur des Technologies de l’Information et de la Communication, de la Côte d’Ivoire, a mis en évidence quatre enjeux majeurs à relever.
«Le premier enjeu consiste à avoir des logiciels up to date. Le deuxième problème qu’on avait constaté c’était la sécurité des infrastructures sur lesquelles opèrent les entreprises, et les systèmes d’informations.
Il y a du travail au niveau de la sensibilisation et de la mise en œuvre des bonnes pratiques en matière de sécurité des infrastructure.», estime-t-il.
«Ensuite, il y a la vulgarisation et la sensibilisation. Les acteurs sont encore en train de mettre des mots de passe sur les postes. Il y a de nouvelles formules de sécurisation d’accès sur les applications qui peuvent être biométriques. Là encore, il y a des efforts à faire.
Et puis, il y a des bonnes pratiques en matière de gouvernance, il faut qu’on mette en place un certain nombre de recommandations sur la mise en œuvre des démarches ISO, pour permettre aux entreprises d’intégrer ses bonnes pratiques dans le pilotage de leur système d’information en vue de garantir une sécurité optimale», propose-t-il.
Opportunité dans le libre cloud
Sur le plan de l’innovation digitale, Salwa smaoui, Directrice de la région Afrique et Moyen-Orient de Microsoft, estime que l’Afrique, aujourd’hui, a une opportunité de se lancer dans le libre Cloud.
«L’Afrique a une opportunité, aujourd’hui, de faire un libre Cloud. Bouger dans un Cloud qui propose la confiance, nous permettra d’aller plus rapidement que les autres pays.»
Bruno Mettling, Directeur Général Adjoint, de la Zone Afrique et Moyen-Orient, pense que les Data-centers sont les infrastructures clés de demain.
«Les data-centers sont les infrastructures clés de demain, parce que le nouvel or noir du numérique c’est la data. On est au début, mais on va se rendre compte progressivement dans les années qui viennent de l’importance de l’utilisation intelligente des data», soutient-t-il.
Pour lui, «encourager la digitalisation et la numérisation doit réduire les charges et être un centre d'économie de coûts».
Alexandre zapolsky, DG linagora pense que «Les futurs enjeux de la transformation du numérique doit être basée sur le co-développement pour mailler nos économies».
«Il faut aider la jeunesse africaine à la transformation du numérique en construisant notre propre économie numérique. Il faut innover pour arriver à une dématérialisation des données», soutient-t-il.
Le ministre ivoirien, de la communication et des TIC Bruno Koné insiste, pour sa part, «sur l'importance du capital humain dans la transformation du Numérique».
«Pour faciliter les usages dans l'accès aux services, il faut de la confiance.
Il faut de la confiance pour une bonne transformation du numérique», a insisté, Fabien Lepelletier DG, de la société Gemalto Côte d’Ivoire, comme contribution.
L’avenir en dépend…
