Le décès semble dû à des causes naturelles, ont précisé les autorités de l'Etat pontifical dans un communiqué. Une autopsie sera pratiquée dans la journée.
L'ancien nonce apostolique (ambassadeur du Saint-Siège) en République dominicaine, âgé de 67 ans, avait été admis dans un hôpital italien à la mi-juillet, à la veille de l'ouverture de son procès au Vatican, puis avait pu regagner son domicile.
Il était accusé d'avoir payé de jeunes garçons pour se livrer à des actes sexuels lors de son séjour à Saint-Domingue, où il est resté cinq ans. L'accusation lui reprochait aussi d'avoir téléchargé et acheté du matériel pédophile sur internet, et d'avoir offensé la morale chrétienne.
Il avait été rappelé à Rome en 2013 à la suite d'accusations de pédophilie lancées contre lui par les médias dominicains.
Son procès, qui s'était ouvert en son absence le 11 juillet avant d'être ajourné, était le premier du genre à se tenir au Vatican, en vertu des règles nouvelles édictées par le pape François.
Soucieux de rétablir la crédibilité de l'Eglise catholique à la suite d'une série de scandales à caractère sexuels, le pape a décidé en 2013 que le code pénal du Vatican pourrait s'appliquer aux membres de son clergé, où qu'ils vivent.
L'ancien nonce apostolique (ambassadeur du Saint-Siège) en République dominicaine, âgé de 67 ans, avait été admis dans un hôpital italien à la mi-juillet, à la veille de l'ouverture de son procès au Vatican, puis avait pu regagner son domicile.
Il était accusé d'avoir payé de jeunes garçons pour se livrer à des actes sexuels lors de son séjour à Saint-Domingue, où il est resté cinq ans. L'accusation lui reprochait aussi d'avoir téléchargé et acheté du matériel pédophile sur internet, et d'avoir offensé la morale chrétienne.
Il avait été rappelé à Rome en 2013 à la suite d'accusations de pédophilie lancées contre lui par les médias dominicains.
Son procès, qui s'était ouvert en son absence le 11 juillet avant d'être ajourné, était le premier du genre à se tenir au Vatican, en vertu des règles nouvelles édictées par le pape François.
Soucieux de rétablir la crédibilité de l'Eglise catholique à la suite d'une série de scandales à caractère sexuels, le pape a décidé en 2013 que le code pénal du Vatican pourrait s'appliquer aux membres de son clergé, où qu'ils vivent.