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Lundi 5 octobre. Des soldats israéliens arrêtent un Palestinien lors de heurts dans un quartier de Jérusalem est
Les maisons visées ce lundi sont celle de Ghassan Abou Jamal qui, avec son cousin, était à l'origine de l'attentat qui avait fait cinq morts dans une synagogue de Jérusalem-Ouest en novembre 2014, avant d'être abattu.
Dans le même quartier de Jérusalem Est, c'est l'habitation de la famille de Mohammed Jaabis, accusé d'avoir commis une attaque à la pelleteuse contre un bus en 2010 et abattu aussitôt, qui a été démolie. Enfin, selon un communiqué de l'armée, les soldats ont scellé une pièce de la maison d'un Palestinien qui avait tiré sur un juif militant pour le droit des juifs à prier sur l'esplanade des Mosquées.
«Nous ne sommes pas prêts à donner l'immunité à quiconque, à tout émeutier ou tout terroriste où qu'il soit et pour cela, il n'y a aucune limite dans les activités des forces de sécurité», a prévenu le Premier ministre israélien en donnant carte blanche à son armée dans une intervention télévisée lundi soir. Il a annoncé des incursions dans les quartiers palestiniens de Jérusalem, le renfort de centaines de soldats en Cirsjordanie et de millier de policiers à Jérusalem. Il avait également averti de la démolition des maisons des auteurs d'attentats et de leurs familles.
Benjamin Netanyahou a réagi après plusieurs jours de violences en Cisjordanie occupée notamment. Quatre israéliens ont été tués dans des attentats, entraînant des représailles de l'armée israélienne et provoquant de violents heurts. Deux jeunes palestiniens ont été tués par des tirs de soldats israéliens dimanche et lundi.
Cette escalade de violences fait craindre une troisième intifada à certains observateurs étrangers.
Source
Dans le même quartier de Jérusalem Est, c'est l'habitation de la famille de Mohammed Jaabis, accusé d'avoir commis une attaque à la pelleteuse contre un bus en 2010 et abattu aussitôt, qui a été démolie. Enfin, selon un communiqué de l'armée, les soldats ont scellé une pièce de la maison d'un Palestinien qui avait tiré sur un juif militant pour le droit des juifs à prier sur l'esplanade des Mosquées.
«Nous ne sommes pas prêts à donner l'immunité à quiconque, à tout émeutier ou tout terroriste où qu'il soit et pour cela, il n'y a aucune limite dans les activités des forces de sécurité», a prévenu le Premier ministre israélien en donnant carte blanche à son armée dans une intervention télévisée lundi soir. Il a annoncé des incursions dans les quartiers palestiniens de Jérusalem, le renfort de centaines de soldats en Cirsjordanie et de millier de policiers à Jérusalem. Il avait également averti de la démolition des maisons des auteurs d'attentats et de leurs familles.
Benjamin Netanyahou a réagi après plusieurs jours de violences en Cisjordanie occupée notamment. Quatre israéliens ont été tués dans des attentats, entraînant des représailles de l'armée israélienne et provoquant de violents heurts. Deux jeunes palestiniens ont été tués par des tirs de soldats israéliens dimanche et lundi.
Cette escalade de violences fait craindre une troisième intifada à certains observateurs étrangers.
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