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Conscient des difficultés auxquelles sont confrontées certaines catégories sociales, le Roi Mohammed VI a été particulièrement attentif aux besoins de la population marocaine vivant dans la précarité. En effet, depuis son intronisation, il a tenu à être à l’écoute de son peuple et a œuvré conséquemment à la réalisation du développement durable et à la création de plusieurs postes d’emploi, en particulier, au profit des jeunes diplômés.
A cet égard, l’Agence de développement social (ADS), créée en 2001, en vertu de la loi n° 12.99, s’assigne comme objectif primordial le financement des secteurs vitaux et des infrastructures de base, dont l’eau, l’électricité et les routes. Placée sous la tutelle du Ministère du Développement Social, de la Famille et de la Solidarité, l’ADS fait indéniablement partie de ces chantiers instaurés par le royaume, visant à lutter contre la pauvreté et à réussir le développement durable au Maroc. Par ailleurs, en vue de réussir la mission qui lui incombe, l’ADS procède suivant un procédé participatif, partenarial et de proximité, en ciblant de plus près le milieu rural, lequel demeure le plus atteint par la pauvreté.
Cela étant, depuis son installation, l’Agence a participé au renforcement de l’expérience marocaine dans le domaine du développement social, et a permis, dès lors, au Maroc de se positionner en tant que leader en la matière sur le plan régional. Aussi, diverses rencontres ont-elles été organisées avec des responsables africains, en vue de s’enquérir de la stratégie d’intervention de l’ADS, à travers l’appui et le financement des projets de développement durable. D’autant plus, ladite agence participe d’une manière active aux manifestations et fora internationaux, consacrés à la question du développement social. De ce fait, à titre d’illustration, on peut citer la participation de l’ADS, du 9 au 12 novembre 2011, à Chamonix, en France, à la cinquième édition des « Rencontres du Mont-Blanc », lesquelles sont un forum international, réunissant les dirigeants de l’économie sociale. Ces rencontres ont eu pour objet, notamment la mise en relief du réseautage entre les différents acteurs, l’échange d’expériences ainsi que la réflexion sur de nouvelles approches en matière de développement social. De plus, en octobre 2011, l’ADS a pris part au Forum international de l’économie sociale et solidaire, tenu à Montréal, au Canada. Cette manifestation fut l’occasion propice de débattre, entre autres, du rôle des pouvoirs publics et de la société civile dans le développement social et économique.
Par ailleurs, il convient de noter que l’Agence organise des sessions de formation au profit d’associations locales, dans le but de renforcer leurs capacités à jouer le rôle qui leur est assigné, en tant qu’acteur stratégique de développement.
In fine, l’ADS participe d’une vision éclairée, en mesure de répondre aux défis que représente le développement social et économique au Maroc. Cela dit, visiblement conscients de l’enjeu de taille que revêt ce chantier, les pouvoirs publics marocains y déploient les efforts nécessaires afin de réaliser les objectifs visés, notamment à travers la mise en place de cette Agence dédiée au développement social.
A cet égard, l’Agence de développement social (ADS), créée en 2001, en vertu de la loi n° 12.99, s’assigne comme objectif primordial le financement des secteurs vitaux et des infrastructures de base, dont l’eau, l’électricité et les routes. Placée sous la tutelle du Ministère du Développement Social, de la Famille et de la Solidarité, l’ADS fait indéniablement partie de ces chantiers instaurés par le royaume, visant à lutter contre la pauvreté et à réussir le développement durable au Maroc. Par ailleurs, en vue de réussir la mission qui lui incombe, l’ADS procède suivant un procédé participatif, partenarial et de proximité, en ciblant de plus près le milieu rural, lequel demeure le plus atteint par la pauvreté.
Cela étant, depuis son installation, l’Agence a participé au renforcement de l’expérience marocaine dans le domaine du développement social, et a permis, dès lors, au Maroc de se positionner en tant que leader en la matière sur le plan régional. Aussi, diverses rencontres ont-elles été organisées avec des responsables africains, en vue de s’enquérir de la stratégie d’intervention de l’ADS, à travers l’appui et le financement des projets de développement durable. D’autant plus, ladite agence participe d’une manière active aux manifestations et fora internationaux, consacrés à la question du développement social. De ce fait, à titre d’illustration, on peut citer la participation de l’ADS, du 9 au 12 novembre 2011, à Chamonix, en France, à la cinquième édition des « Rencontres du Mont-Blanc », lesquelles sont un forum international, réunissant les dirigeants de l’économie sociale. Ces rencontres ont eu pour objet, notamment la mise en relief du réseautage entre les différents acteurs, l’échange d’expériences ainsi que la réflexion sur de nouvelles approches en matière de développement social. De plus, en octobre 2011, l’ADS a pris part au Forum international de l’économie sociale et solidaire, tenu à Montréal, au Canada. Cette manifestation fut l’occasion propice de débattre, entre autres, du rôle des pouvoirs publics et de la société civile dans le développement social et économique.
Par ailleurs, il convient de noter que l’Agence organise des sessions de formation au profit d’associations locales, dans le but de renforcer leurs capacités à jouer le rôle qui leur est assigné, en tant qu’acteur stratégique de développement.
In fine, l’ADS participe d’une vision éclairée, en mesure de répondre aux défis que représente le développement social et économique au Maroc. Cela dit, visiblement conscients de l’enjeu de taille que revêt ce chantier, les pouvoirs publics marocains y déploient les efforts nécessaires afin de réaliser les objectifs visés, notamment à travers la mise en place de cette Agence dédiée au développement social.
