Accueil
Actus
«Le Qatar continuera à aider et à soutenir la Tunisie, aspirant à renforcer les liens de coopération entre les deux pays», a déclaré Al Thani lors d’un discours prononcé au palais des Congrès à Tunis, où se déroule la Conférence sur l’investissement.
«La forte présence des investisseurs et des responsables internationaux témoigne de l’intérêt porté à la Tunisie et à sa démocratie», a-t-il affirmé, soulignant l’importance de créer de la croissance et de résorber le chômage, pour mieux endiguer les phénomènes de «désespoir et d’intégrisme».
Et l'émir qatari d’ajouter : «La prévention demeure le meilleur moyen pour se prémunir contre l’intégrisme et la violence. Il n’existe pas de remède pour ce phénomène devenu endémique. La guerre contre le terrorisme est essentielle, mais ne peut être un remède».
Selon les chiffres de l’Institut national de la Statistique (INS), 629,6 mille personnes sont au chômage en Tunisie, soit un taux de 15,6%.
La Tunisie fonde de grands espoirs sur la Conférence «Tunisia 2020» pour redresser la barre et relancer son économie, plombée par une dette extérieure de 65 milliards de dinars et un déficit budgétaire estimé à 6,7 milliards de dinars. Une situation marquée par un climat social tendu et un dinar en perdition, déprécié à 25% de sa valeur.
«La forte présence des investisseurs et des responsables internationaux témoigne de l’intérêt porté à la Tunisie et à sa démocratie», a-t-il affirmé, soulignant l’importance de créer de la croissance et de résorber le chômage, pour mieux endiguer les phénomènes de «désespoir et d’intégrisme».
Et l'émir qatari d’ajouter : «La prévention demeure le meilleur moyen pour se prémunir contre l’intégrisme et la violence. Il n’existe pas de remède pour ce phénomène devenu endémique. La guerre contre le terrorisme est essentielle, mais ne peut être un remède».
Selon les chiffres de l’Institut national de la Statistique (INS), 629,6 mille personnes sont au chômage en Tunisie, soit un taux de 15,6%.
La Tunisie fonde de grands espoirs sur la Conférence «Tunisia 2020» pour redresser la barre et relancer son économie, plombée par une dette extérieure de 65 milliards de dinars et un déficit budgétaire estimé à 6,7 milliards de dinars. Une situation marquée par un climat social tendu et un dinar en perdition, déprécié à 25% de sa valeur.
