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M. Netanyahu, fervent opposant à l'accord conclu entre Téhéran et les grandes puissances le 14 juillet, va s'exprimer sur internet mardi, et son intervention sera diffusée dans les synagogues américaines, ont précisé ces responsables.
Il doit également répondre à des questions lors d'une intervention organisée par la Conférence des présidents des principales organisations juives américaines et par les fédérations juives d'Amérique du Nord.
Il devrait y étriller l'accord, qui prévoit une levée progressive des sanctions contre le renoncement de l'Iran à se doter de l'arme atomique.
"Les problématiques liées à l'accord sur le nucléaire iranien sont complexes et ont de lourdes conséquences sur la population juive d'Amérique du Nord", a estimé Stephen Greenberg, qui siège à la Conférence des présidents.
"Nous accueillons cette opportunité unique de présenter le Premier ministre (israélien), qui a permis de porter ces questions vitales à l'attention du public", a-t-il ajouté.
L'intervention de M. Netanyahu, qui a qualifié d'"erreur historique" l'arrangement conclu à Vienne, intervient sur fond de vive opposition avec le président Barack Obama.
Le président américain, de son côté, s'active en coulisse pour que le texte soit adopté par le Congrès des Etats-Unis sans qu'il n'ait besoin d'opposer son veto à un éventuel "non" des parlementaires.
Barack Obama a par ailleurs chargé le secrétaire d'Etat John Kerry, qui a passé le plus clair de ces derniers mois à voyager pour arracher l'accord historique, de discuter avec les organisations auxquelles M. Netanyahu compte s'adresser.
Il doit également répondre à des questions lors d'une intervention organisée par la Conférence des présidents des principales organisations juives américaines et par les fédérations juives d'Amérique du Nord.
Il devrait y étriller l'accord, qui prévoit une levée progressive des sanctions contre le renoncement de l'Iran à se doter de l'arme atomique.
"Les problématiques liées à l'accord sur le nucléaire iranien sont complexes et ont de lourdes conséquences sur la population juive d'Amérique du Nord", a estimé Stephen Greenberg, qui siège à la Conférence des présidents.
"Nous accueillons cette opportunité unique de présenter le Premier ministre (israélien), qui a permis de porter ces questions vitales à l'attention du public", a-t-il ajouté.
L'intervention de M. Netanyahu, qui a qualifié d'"erreur historique" l'arrangement conclu à Vienne, intervient sur fond de vive opposition avec le président Barack Obama.
Le président américain, de son côté, s'active en coulisse pour que le texte soit adopté par le Congrès des Etats-Unis sans qu'il n'ait besoin d'opposer son veto à un éventuel "non" des parlementaires.
Barack Obama a par ailleurs chargé le secrétaire d'Etat John Kerry, qui a passé le plus clair de ces derniers mois à voyager pour arracher l'accord historique, de discuter avec les organisations auxquelles M. Netanyahu compte s'adresser.
