Manuel Valls et Alain Juppé
Pour 49% des sondés, M. Juppé "ferait plutôt mieux" que le chef de l'Etat. 12% jugent que le maire de Bordeaux ferait "plutôt moins bien" et 39% qu'il ferait "ni mieux, ni moins bien".
Quelque 38% des sondés estiment que M. Sarkozy ferait "plutôt mieux", 28% "plutôt moins bien" et 33% "ni mieux, ni moins bien". 1% ne se prononce pas.
Quant au Premier ministre, il ferait "plutôt mieux" pour 31% des personnes interrogées, "plutôt moins bien" pour 15% d'entre elles et "ni mieux ni moins bien" pour 54% des sondés.
45% des sondés estiment que Mme Le Pen ferait "plutôt moins bien", 29% qu'elle ferait "plutôt mieux" et 26% "ni mieux, ni moins bien".
Plus généralement, 78% des personnes sondées jugent que "s'ils en avaient le courage, les hommes politiques pourraient mener les réformes nécessaires pour le pays". 21% pensent a contrario qu'"avec la mondialisation, les hommes politiques ne peuvent plus mener les réformes nécessaires pour le pays". 1% ne se prononce pas.
Enfin, 39% des personnes interrogées estiment que les Français portent sur leur pays un "jugement ni trop ni pas assez sévère", contre 35% qui pensent qu'ils portent un jugement "pas assez sévère" et 26% "trop sévère".
Sondage réalisé par internet le 7 novembre auprès d'un échantillon représentatif de 1.001 personnes (méthode des quotas).
Quelque 38% des sondés estiment que M. Sarkozy ferait "plutôt mieux", 28% "plutôt moins bien" et 33% "ni mieux, ni moins bien". 1% ne se prononce pas.
Quant au Premier ministre, il ferait "plutôt mieux" pour 31% des personnes interrogées, "plutôt moins bien" pour 15% d'entre elles et "ni mieux ni moins bien" pour 54% des sondés.
45% des sondés estiment que Mme Le Pen ferait "plutôt moins bien", 29% qu'elle ferait "plutôt mieux" et 26% "ni mieux, ni moins bien".
Plus généralement, 78% des personnes sondées jugent que "s'ils en avaient le courage, les hommes politiques pourraient mener les réformes nécessaires pour le pays". 21% pensent a contrario qu'"avec la mondialisation, les hommes politiques ne peuvent plus mener les réformes nécessaires pour le pays". 1% ne se prononce pas.
Enfin, 39% des personnes interrogées estiment que les Français portent sur leur pays un "jugement ni trop ni pas assez sévère", contre 35% qui pensent qu'ils portent un jugement "pas assez sévère" et 26% "trop sévère".
Sondage réalisé par internet le 7 novembre auprès d'un échantillon représentatif de 1.001 personnes (méthode des quotas).