Sarsar a déclaré, lors d’une conférence de presse tenue au siège de l’ISIE, dans la capitale, Tunis : « Nous avons démissionné après nous être assurés que le différend au sein de l’Instance ne concerne plus les méthodes de travail, mais touche désormais aux principes même sur la base desquels s’est fondée l’ISIE ».
Le président de l’Instance n’a pas fourni davantage de détails sur la question.
Les démissionnaires présenteront ultérieurement leur démission conformément aux procédures prévues par la loi, a-t-il ajouté.
Chafik Sarsar n’a cependant pas révélé le nom des deux autres membres démissionnaires.
Il a appelé le Parlement à « remplacer les démissionnaires », sans fournir plus de précision.
Une source proche de l’ISIE a déclaré à Anadolu, sous le sceau de l’anonymat, que « Sarsar a subi des pressions concernant l’intégrité du travail de l’ISIE », sans mentionner explicitement les parties qui ont exercé les pressions en question.
L’ISIE est une instance constitutionnelle chargée de superviser les élections en Tunisie.
Cette démission survient alors que le pays s’apprête à organiser des élections municipales, le 17 décembre prochain.
Le président de l’Instance n’a pas fourni davantage de détails sur la question.
Les démissionnaires présenteront ultérieurement leur démission conformément aux procédures prévues par la loi, a-t-il ajouté.
Chafik Sarsar n’a cependant pas révélé le nom des deux autres membres démissionnaires.
Il a appelé le Parlement à « remplacer les démissionnaires », sans fournir plus de précision.
Une source proche de l’ISIE a déclaré à Anadolu, sous le sceau de l’anonymat, que « Sarsar a subi des pressions concernant l’intégrité du travail de l’ISIE », sans mentionner explicitement les parties qui ont exercé les pressions en question.
L’ISIE est une instance constitutionnelle chargée de superviser les élections en Tunisie.
Cette démission survient alors que le pays s’apprête à organiser des élections municipales, le 17 décembre prochain.