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« Ghannouchi a obtenu 800 voix, contre 229 pour Fethi Ayadi, et 29 pour Mohamed Al-Akrout» a déclaré Laârayedh.
Le dirigeant d’Ennahdha, Abdelkrim Harouni, avait fait état, avant les votes de huit candidats à la présidence du mouvement.
Seuls trois d’entre eux sont restés dans la course.
Par ailleurs, les noms des 100 adhérents du parti élus membres du Conseil de la Choura, ont été annoncés.
Dans son discours de clôture, Ghannouchi a salué les efforts menés lors du Congrès, en admettant, toutefois, certains problèmes, et promettant des « réformes ».
Le Xeme Congrès d’Ennahda a démarré vendredi soir, dans la capitale tunisienne, Tunis, en présence du président Béji Caïd Essebsi, et de milliers de membres du mouvement.
Selon le règlement intérieur du parti, le Congrès constitue la plus haute autorité au sein du mouvement. Ennahdha avait tenu auparavant 9 Congrès, dont 8 avant 2011, en Tunisie et à l’étranger. Le 9ème Congrès avait été organisé en 2012.
Le mouvement a remporté les premières élections législatives après l’éviction de l’ancien président Zine El-Abidine Ben Ali, en 2011. Elle représente aujourd’hui la première politique au sein du Parlement tunisien.
Le dirigeant d’Ennahdha, Abdelkrim Harouni, avait fait état, avant les votes de huit candidats à la présidence du mouvement.
Seuls trois d’entre eux sont restés dans la course.
Par ailleurs, les noms des 100 adhérents du parti élus membres du Conseil de la Choura, ont été annoncés.
Dans son discours de clôture, Ghannouchi a salué les efforts menés lors du Congrès, en admettant, toutefois, certains problèmes, et promettant des « réformes ».
Le Xeme Congrès d’Ennahda a démarré vendredi soir, dans la capitale tunisienne, Tunis, en présence du président Béji Caïd Essebsi, et de milliers de membres du mouvement.
Selon le règlement intérieur du parti, le Congrès constitue la plus haute autorité au sein du mouvement. Ennahdha avait tenu auparavant 9 Congrès, dont 8 avant 2011, en Tunisie et à l’étranger. Le 9ème Congrès avait été organisé en 2012.
Le mouvement a remporté les premières élections législatives après l’éviction de l’ancien président Zine El-Abidine Ben Ali, en 2011. Elle représente aujourd’hui la première politique au sein du Parlement tunisien.
