De 54.000 fin 2017 à 61.768 fin 2018, le nombre total d’opérateurs engagés en bio (fermes, entreprises de préparation ou de distribution) certifiés par l’agriculture biologique a progressé de 14,3%, peut-on lire dans le bilan annuel de l’agence Bio.
“Le marché est toujours très dynamique. Il y a une forme de démocratisation. On a presque la totalité de nos citoyens qui ont accès à une offre de produits bio”, a déclaré Florent Guhl, directeur de l’Agence Bio, lors d’un point de presse.
Le secteur bio a employé directement 155.347 équivalents temps plein, soit 18.714 de plus qu’en 2017. Depuis 2012, le nombre d’emplois a quasiment doublé avec une croissance annuelle moyenne de 10,3%.
Concernant le marché du bio, il a progressé l’année dernière de 15% pour atteindre 9,7 milliards d’euros, soit près de 5% des achats alimentaires des ménages français, précise l’agence.
Philippe Henry, agriculteur et président de l’Agence Bio, a estimé que l’on avait “franchi un cap en grandes cultures”.
“Avant, ce n’était pas de bon ton de se convertir. C’est devenu quelque chose de normal”, a-t-il dit.
Annoncé en juin 2018, le plan “ambition bio 2022” du gouvernement s’est fixé comme objectif d’atteindre 15 % de surface agricole utile en agriculture biologique et 20% de produits bio dans la restauration collective publique d’ici la fin du quinquennat d’Emmanuel Macron.
“Le marché est toujours très dynamique. Il y a une forme de démocratisation. On a presque la totalité de nos citoyens qui ont accès à une offre de produits bio”, a déclaré Florent Guhl, directeur de l’Agence Bio, lors d’un point de presse.
Le secteur bio a employé directement 155.347 équivalents temps plein, soit 18.714 de plus qu’en 2017. Depuis 2012, le nombre d’emplois a quasiment doublé avec une croissance annuelle moyenne de 10,3%.
Concernant le marché du bio, il a progressé l’année dernière de 15% pour atteindre 9,7 milliards d’euros, soit près de 5% des achats alimentaires des ménages français, précise l’agence.
Philippe Henry, agriculteur et président de l’Agence Bio, a estimé que l’on avait “franchi un cap en grandes cultures”.
“Avant, ce n’était pas de bon ton de se convertir. C’est devenu quelque chose de normal”, a-t-il dit.
Annoncé en juin 2018, le plan “ambition bio 2022” du gouvernement s’est fixé comme objectif d’atteindre 15 % de surface agricole utile en agriculture biologique et 20% de produits bio dans la restauration collective publique d’ici la fin du quinquennat d’Emmanuel Macron.