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"Pour que la Saint-Sylvestre puisse être un moment de convivialité pour tous, il y aura 35.000 policiers, soit 7.000 de plus que pour le réveillon du Jour de l'An (2008, ndlr), et 7.000 également à Paris. Il y aura aussi 50.000 sapeurs-pompiers", a-t-elle indiqué à l'issue d'une réunion à Matignon autour du Premier ministre François Fillon.
Seize hélicoptères seront affectés à la surveillance des "toits d'immeuble", a précisé la ministre.
La prévention des nombreux incendies de voiture qui marquent depuis plusieurs années les 31 décembre sera concentrée sur la région parisienne, les villes de Toulouse, Strasbourg et Nantes, ainsi que sur des "villes de moindre importance" où ce phénomène a été observé les années précédentes.
Mme Alliot-Marie a enfin affirmé que ses services "prendront en compte le contexte international". Elle a répété que la France était selon elle "ni plus ni moins menacée" que ses pays voisins.
Alors que la polémique se poursuit, quelques jours après la mort à Massy (Essonne) d'un homme cardiaque qui avait dû attendre six heures son hospitalisation, la ministre de la Santé Roselyne Bachelot s'est engagée au cours de la même réunion à "une mobilisation encore plus forte des services de réanimation" mercredi soir.
Quelque 95 % des 1.200 lits de "réa" d'Ile-de-France seront ainsi disponibles. Rachida Dati (Justice) et Martin Hirsch (Solidarités actives contre la pauvreté) participaient également à la réunion.
Seize hélicoptères seront affectés à la surveillance des "toits d'immeuble", a précisé la ministre.
La prévention des nombreux incendies de voiture qui marquent depuis plusieurs années les 31 décembre sera concentrée sur la région parisienne, les villes de Toulouse, Strasbourg et Nantes, ainsi que sur des "villes de moindre importance" où ce phénomène a été observé les années précédentes.
Mme Alliot-Marie a enfin affirmé que ses services "prendront en compte le contexte international". Elle a répété que la France était selon elle "ni plus ni moins menacée" que ses pays voisins.
Alors que la polémique se poursuit, quelques jours après la mort à Massy (Essonne) d'un homme cardiaque qui avait dû attendre six heures son hospitalisation, la ministre de la Santé Roselyne Bachelot s'est engagée au cours de la même réunion à "une mobilisation encore plus forte des services de réanimation" mercredi soir.
Quelque 95 % des 1.200 lits de "réa" d'Ile-de-France seront ainsi disponibles. Rachida Dati (Justice) et Martin Hirsch (Solidarités actives contre la pauvreté) participaient également à la réunion.
