Leurs créations sont exposées en avant-première au Carré Sainte-Anne à Montpellier du 17 avril au 31 mai.
On y trouve notamment des photos de Marjorie Brunet, 23 ans, qui rappellent les peintures des grands maîtres flamands avec une maîtrise étonnante du clair obscur. Inspirées de l'Art de rêver de Carlos Castaneda, ces photos montrent des modèles plongés en partie dans l'eau, la frontière eau/air évoquant les liens entre vie et mort, conscient et inconscient.
Le Toulonnais Julien Raynaud plonge le spectateur dans un parcours vidéo grand format et déroutant à Dakar tandis que le graphiste marseillais Pierre Delort expose des affiches revisitant chaque détail de la ville.
L'écrivain Olivia Pierrugues, le peintre Florian Bruno ainsi que les compagnies de danse La Parenthèse (Marseille) et Post parfum collectif (Montpellier) seront aussi du voyage à Skopje.
Organisée pour la 1ère fois en 1985 à Barcelone, la BJCEM a pour but de soutenir les jeunes créateurs contemporains des rives de la Méditerranée. Elle a permis de faire découvrir entre autres des talents comme le groupe portugais Madredeus, auteur de la musique du film de Wim Wenders Lisbon Story.
Accueillie notamment à Rome, Valence (Espagne) et Lisbonne, la Biennale réunira cette année entre 700 et 1.000 artistes à Skopje. Un clin d'oeil vers cette Europe centrale et orientale devenue un des lieux de création importants de l'art contemporain comme le montre la série d'expositions organisées actuellement à Lille sous le titre Europe XXL.
"Skopje, c'est la nouvelle Europe, une ville très dynamique qui compte 300.000 jeunes de moins de 30 ans et qui est au coeur d'une région multiculturelle et multiethnique", a expliqué à l'AFP le secrétaire général de la Biennale Alessandro Stillo.
On y trouve notamment des photos de Marjorie Brunet, 23 ans, qui rappellent les peintures des grands maîtres flamands avec une maîtrise étonnante du clair obscur. Inspirées de l'Art de rêver de Carlos Castaneda, ces photos montrent des modèles plongés en partie dans l'eau, la frontière eau/air évoquant les liens entre vie et mort, conscient et inconscient.
Le Toulonnais Julien Raynaud plonge le spectateur dans un parcours vidéo grand format et déroutant à Dakar tandis que le graphiste marseillais Pierre Delort expose des affiches revisitant chaque détail de la ville.
L'écrivain Olivia Pierrugues, le peintre Florian Bruno ainsi que les compagnies de danse La Parenthèse (Marseille) et Post parfum collectif (Montpellier) seront aussi du voyage à Skopje.
Organisée pour la 1ère fois en 1985 à Barcelone, la BJCEM a pour but de soutenir les jeunes créateurs contemporains des rives de la Méditerranée. Elle a permis de faire découvrir entre autres des talents comme le groupe portugais Madredeus, auteur de la musique du film de Wim Wenders Lisbon Story.
Accueillie notamment à Rome, Valence (Espagne) et Lisbonne, la Biennale réunira cette année entre 700 et 1.000 artistes à Skopje. Un clin d'oeil vers cette Europe centrale et orientale devenue un des lieux de création importants de l'art contemporain comme le montre la série d'expositions organisées actuellement à Lille sous le titre Europe XXL.
"Skopje, c'est la nouvelle Europe, une ville très dynamique qui compte 300.000 jeunes de moins de 30 ans et qui est au coeur d'une région multiculturelle et multiethnique", a expliqué à l'AFP le secrétaire général de la Biennale Alessandro Stillo.