"Sur le papier, la liste de cinéastes est toujours alléchante, mais il y a parfois des déceptions", a affirmé vendredi à l'AFP le délégué général du festival, Thierry Frémaux.
"Par ailleurs, une sélection est aussi faite de surprises, or Cannes se distingue toujours par ses découvertes", a-t-il ajouté.
Cette 62e édition (13-24 mai) s'ouvrira pour la première fois avec un dessin animé américain en 3D relief, "Là-haut" de l'inventif studio Pixar, a-t-il annoncé jeudi, mettant fin à des semaines de spéculations.
Car une bonne partie de la presse prédisait un démarrage avec le polar suédois "Millenium" tiré du best-seller de Stieg Larsson, pourtant déjà sorti en salles dans toute la Scandinavie.
Or seuls les films inédits ou sortis uniquement dans leur pays d'origine peuvent être sélectionnés ce qui, de fait, écartait "Millenium".
Mais jusqu'au 23 avril où la sélection sera dévoilée, les pronostics iront encore bon train, d'autant que cette année les places seront chères.
Car nombre de grands cinéastes, familiers de Cannes ou non, sont dans les starting-blocks, à commencer par l'Américain Quentin Tarantino, Palme d'or en 1994 avec "Pulp Fiction", qui cravache pour finir à temps "Inglorious basterds", avec Brad Pitt et Diane Kruger.
De son côté Almodovar pourrait être en compétition pour la 4e fois avec son film "Les Etreintes brisées", déjà sorti en Espagne.
La Néo-Zélandaise Jane Campion, la première réalisatrice à avoir remporté la Palme d'or, en 1992 avec "La leçon de piano", pourrait dévoiler "Bright Star", récit des amours du poète romantique John Keats.
Du côté des Etats-Unis, les frères Coen et le prolifique Steven Soderbergh qui a deux films en chantier, ne devraient pas être prêts.
Idem pour le Mexicain Alejandro Gondalez Inarritu, qui termine à peine le tournage de "Biutiful".
En Europe, parmi les candidats les plus sûrs figurent le Britannique Ken Loach avec "Looking for Eric", sur et avec le footballeur Eric Cantona, le Danois Lars von Trier et son "Antichrist" avec Willem Dafoe et Charlotte Gainsbourg, ou l'Autrichien Michael Haneke avec "Le Ruban blanc".
Le Germano-Turc Fatih Akin avec sa comédie "Soul kitchen", l'Italien Marco Bellocchio dont "Vincere" relate l'histoire du fils illégitime de Benito Mussolini sont aussi sur les rangs.
Enfin, le Roumain Cristian Mungiu, lauréat de la Palme d'or 2007 pour "4 mois, 3 semaines, 2 jours" pourrait dévoiler "Tales from the golden age".
L'Asie ne devrait pas être en reste: censuré en Chine, Lou Ye pourrait montrer une torride histoire d'amour "Spring Fever", et Johnnie To dévoiler son polar "Vengeance" avec Johnny Hallyday.
Le Coréen Park Chan-wook, lauréat du Grand prix en 2004 avec "Old boy", viendrait avec "Thirst" et son compatriote Boon Jong-ho, avec "Mother".
On se bouscule aussi pour les trois places en compétition traditionnellement réservées aux Français.
En lice notamment: Bruno Dumont, Jacques Audiard, Robert Guédiguian, Alain Resnais, Denis Dercourt, les frères Larrieux, Marina de Van, Christophe Honoré ou encore Nicolas Hulot avec son documentaire "Le syndrome du Titanic". Gaspar Noé, qui avait fait scandale avec "Irréversible" en 2002, essaie de terminer à temps "Soudain le vide".
"Par ailleurs, une sélection est aussi faite de surprises, or Cannes se distingue toujours par ses découvertes", a-t-il ajouté.
Cette 62e édition (13-24 mai) s'ouvrira pour la première fois avec un dessin animé américain en 3D relief, "Là-haut" de l'inventif studio Pixar, a-t-il annoncé jeudi, mettant fin à des semaines de spéculations.
Car une bonne partie de la presse prédisait un démarrage avec le polar suédois "Millenium" tiré du best-seller de Stieg Larsson, pourtant déjà sorti en salles dans toute la Scandinavie.
Or seuls les films inédits ou sortis uniquement dans leur pays d'origine peuvent être sélectionnés ce qui, de fait, écartait "Millenium".
Mais jusqu'au 23 avril où la sélection sera dévoilée, les pronostics iront encore bon train, d'autant que cette année les places seront chères.
Car nombre de grands cinéastes, familiers de Cannes ou non, sont dans les starting-blocks, à commencer par l'Américain Quentin Tarantino, Palme d'or en 1994 avec "Pulp Fiction", qui cravache pour finir à temps "Inglorious basterds", avec Brad Pitt et Diane Kruger.
De son côté Almodovar pourrait être en compétition pour la 4e fois avec son film "Les Etreintes brisées", déjà sorti en Espagne.
La Néo-Zélandaise Jane Campion, la première réalisatrice à avoir remporté la Palme d'or, en 1992 avec "La leçon de piano", pourrait dévoiler "Bright Star", récit des amours du poète romantique John Keats.
Du côté des Etats-Unis, les frères Coen et le prolifique Steven Soderbergh qui a deux films en chantier, ne devraient pas être prêts.
Idem pour le Mexicain Alejandro Gondalez Inarritu, qui termine à peine le tournage de "Biutiful".
En Europe, parmi les candidats les plus sûrs figurent le Britannique Ken Loach avec "Looking for Eric", sur et avec le footballeur Eric Cantona, le Danois Lars von Trier et son "Antichrist" avec Willem Dafoe et Charlotte Gainsbourg, ou l'Autrichien Michael Haneke avec "Le Ruban blanc".
Le Germano-Turc Fatih Akin avec sa comédie "Soul kitchen", l'Italien Marco Bellocchio dont "Vincere" relate l'histoire du fils illégitime de Benito Mussolini sont aussi sur les rangs.
Enfin, le Roumain Cristian Mungiu, lauréat de la Palme d'or 2007 pour "4 mois, 3 semaines, 2 jours" pourrait dévoiler "Tales from the golden age".
L'Asie ne devrait pas être en reste: censuré en Chine, Lou Ye pourrait montrer une torride histoire d'amour "Spring Fever", et Johnnie To dévoiler son polar "Vengeance" avec Johnny Hallyday.
Le Coréen Park Chan-wook, lauréat du Grand prix en 2004 avec "Old boy", viendrait avec "Thirst" et son compatriote Boon Jong-ho, avec "Mother".
On se bouscule aussi pour les trois places en compétition traditionnellement réservées aux Français.
En lice notamment: Bruno Dumont, Jacques Audiard, Robert Guédiguian, Alain Resnais, Denis Dercourt, les frères Larrieux, Marina de Van, Christophe Honoré ou encore Nicolas Hulot avec son documentaire "Le syndrome du Titanic". Gaspar Noé, qui avait fait scandale avec "Irréversible" en 2002, essaie de terminer à temps "Soudain le vide".