Le virus avait été décelé en début de semaine à Montauriol lors d’un contrôle précédant un déplacement des animaux, comme les nouvelles normes de biosécurité en font obligation.
Les canards ont été euthanasiés jeudi, avant que les analyses ne confirment qu’il s’agissait en fait d’une souche H5N3 faiblement pathogène.
Conformément à la réglementation mise en place depuis l’épisode d’influenza aviaire de début 2017, un arrêté a été pris établissant une zone de contrôle de trois kilomètres autour de l’élevage, où toute entrée ou sortie d’animaux est interdite.
Jeudi, la préfecture de Loire-Atlantique a fait savoir que 16.600 canards avaient été abattus après la découverte d’un cas à Legé en précisant, dans un communiqué, que ce foyer n’avait “aucun lien avec les épizooties dues aux virus hautement pathogènes H5N1 et H5N8 qui ont sévi en 2016 et 2017”.
D’autres cas ont été découverts au cours des derniers mois, notamment en Vendée et dans le Gers sans que le virus ne se propage au-delà des élevages concernés.
Les canards ont été euthanasiés jeudi, avant que les analyses ne confirment qu’il s’agissait en fait d’une souche H5N3 faiblement pathogène.
Conformément à la réglementation mise en place depuis l’épisode d’influenza aviaire de début 2017, un arrêté a été pris établissant une zone de contrôle de trois kilomètres autour de l’élevage, où toute entrée ou sortie d’animaux est interdite.
Jeudi, la préfecture de Loire-Atlantique a fait savoir que 16.600 canards avaient été abattus après la découverte d’un cas à Legé en précisant, dans un communiqué, que ce foyer n’avait “aucun lien avec les épizooties dues aux virus hautement pathogènes H5N1 et H5N8 qui ont sévi en 2016 et 2017”.
D’autres cas ont été découverts au cours des derniers mois, notamment en Vendée et dans le Gers sans que le virus ne se propage au-delà des élevages concernés.