Des analyses complémentaires devraient déterminer durant le week-end si le virus est faiblement ou hautement pathogène, permettant aux autorités de mettre en place des mesures adaptées.
“Conformément à la réglementation, une zone de contrôle temporaire d’un rayon de 3 kilomètres autour de cette exploitation est mise en place. Toute entrée ou sortie d’animaux y est interdite”, précise la préfecture.
Les 8.500 canards seront euthanasiés et l’élevage situé à Cirières, dans le nord du département, fera l’objet d’un nettoyage et d’une désinfection.
“Il convient en effet de mettre en œuvre toutes les mesures permettant d’éviter le maintien d’un virus pouvant muter rapidement vers une souche hautement pathogène. L’abattage est pris en charge par l’État et l’éleveur sera indemnisé”, précise le communiqué.
Il s’agit du premier cas observé dans le département des Deux-Sèvres depuis l’épisode d’influenza aviaire de début 2017.
Il a été révélé dans le cadre d’un plan de dépistage mis en œuvre dans ce type d’élevage depuis le 1er décembre dernier. D’autres cas ont été découverts ces derniers mois, notamment en Vendée et dans le Gers, sans que le virus ne se propage au-delà des élevages concernés.
“Conformément à la réglementation, une zone de contrôle temporaire d’un rayon de 3 kilomètres autour de cette exploitation est mise en place. Toute entrée ou sortie d’animaux y est interdite”, précise la préfecture.
Les 8.500 canards seront euthanasiés et l’élevage situé à Cirières, dans le nord du département, fera l’objet d’un nettoyage et d’une désinfection.
“Il convient en effet de mettre en œuvre toutes les mesures permettant d’éviter le maintien d’un virus pouvant muter rapidement vers une souche hautement pathogène. L’abattage est pris en charge par l’État et l’éleveur sera indemnisé”, précise le communiqué.
Il s’agit du premier cas observé dans le département des Deux-Sèvres depuis l’épisode d’influenza aviaire de début 2017.
Il a été révélé dans le cadre d’un plan de dépistage mis en œuvre dans ce type d’élevage depuis le 1er décembre dernier. D’autres cas ont été découverts ces derniers mois, notamment en Vendée et dans le Gers, sans que le virus ne se propage au-delà des élevages concernés.