Le Festival international Cinéma et Migrations d'Agadir a rendu un vibrant hommage posthume, à l'ouverture lundi de sa 15ème édition, au cinéaste burkinabé Idrissa Ouédraogo, une des figures emblématiques du 7ème art africain.
Auteur d'une œuvre riche de plusieurs dizaines de films et de courts métrages, ce réalisateur à l'immense talent avait travaillé sans relâche au rayonnement du cinéma burkinabè et sur le continent.
Ouédraogo, qui s'était éteint en février de cette année à l'âge de 64 ans, a remporté des prix dans les plus grands festivals : Cannes, Milan et Ouagadougou entre autres.
Surnommé affectueusement le "Maestro", il s’était notamment illustré avec son film Tilaï (la loi) qui remporte, en 1991, le prestigieux Etalon d’or de Yennenga au Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou (FESPACO).
Diplômé de l’Institut africain d’études cinématographiques de Ouagadougou et de l’université Paris I Sorbonne, il réalise son premier long métrage "Yam daabo" (le choix) en 1986.
Avec "Yaaba" (Grand-mère) sorti en 1988, il obtient le Prix de la Critique au Festival de Cannes en 1989 et le Prix du public au FESPACO la même année.
En 2017, le Burkinabé avait présidé le jury des longs métrages du festival international Cinéma et Migrations et animé notamment un Master class au profit des étudiants de l'Université Ibn Zohr.
Il avait notamment salué la vigueur du cinéma marocain le considérant comme l'un des plus dynamique sur le continent aujourd'hui à la faveur du soutien des pouvoirs publics et de l'éclosion de jeunes réalisateurs talentueux.
Pour sa 15ème édition qui se poursuit jusqu'au 10 avril, le festival international Cinéma et Migrations déroule le tapis rouge pour le Bénin, un hommage au cinéma du continent après avoir la Côte d'Ivoire en 2016 et le Cameroun l'an passé.
Ce rendez-culturel et artistique est initié par l'Association "Initiative culturelle" en partenariat avec le Ministère Chargé des Marocains Résidant à l'Etranger et des Affaires de la Migration et le Centre Cinématographique Marocain avec le soutien notamment du Conseil régional Souss-Massa, du Conseil provincial d'Agadir, et de la Wilaya du Souss-Massa.
Auteur d'une œuvre riche de plusieurs dizaines de films et de courts métrages, ce réalisateur à l'immense talent avait travaillé sans relâche au rayonnement du cinéma burkinabè et sur le continent.
Ouédraogo, qui s'était éteint en février de cette année à l'âge de 64 ans, a remporté des prix dans les plus grands festivals : Cannes, Milan et Ouagadougou entre autres.
Surnommé affectueusement le "Maestro", il s’était notamment illustré avec son film Tilaï (la loi) qui remporte, en 1991, le prestigieux Etalon d’or de Yennenga au Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou (FESPACO).
Diplômé de l’Institut africain d’études cinématographiques de Ouagadougou et de l’université Paris I Sorbonne, il réalise son premier long métrage "Yam daabo" (le choix) en 1986.
Avec "Yaaba" (Grand-mère) sorti en 1988, il obtient le Prix de la Critique au Festival de Cannes en 1989 et le Prix du public au FESPACO la même année.
En 2017, le Burkinabé avait présidé le jury des longs métrages du festival international Cinéma et Migrations et animé notamment un Master class au profit des étudiants de l'Université Ibn Zohr.
Il avait notamment salué la vigueur du cinéma marocain le considérant comme l'un des plus dynamique sur le continent aujourd'hui à la faveur du soutien des pouvoirs publics et de l'éclosion de jeunes réalisateurs talentueux.
Pour sa 15ème édition qui se poursuit jusqu'au 10 avril, le festival international Cinéma et Migrations déroule le tapis rouge pour le Bénin, un hommage au cinéma du continent après avoir la Côte d'Ivoire en 2016 et le Cameroun l'an passé.
Ce rendez-culturel et artistique est initié par l'Association "Initiative culturelle" en partenariat avec le Ministère Chargé des Marocains Résidant à l'Etranger et des Affaires de la Migration et le Centre Cinématographique Marocain avec le soutien notamment du Conseil régional Souss-Massa, du Conseil provincial d'Agadir, et de la Wilaya du Souss-Massa.