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"Nous nous engageons à soutenir l'extension des recherches en apportant une contribution importante", assure Tom Enders, cité par le quotidien économique.
"Nous voulons savoir ce qui s'est passé exactement. Notre priorité absolue est d'améliorer la sécurité du transport aérien", poursuit-il.
Selon la Tribune, Airbus est ainsi prêt à soutenir pour un montant compris entre 12 et 20 millions d'euros, sur une durée de trois mois au moins, les recherches du Bureau d'enquêtes et d'analyse (BEA) français, en charge de l'enquête technique sur l'accident.
Ce chiffre correspond en fait au "montant total" des frais qui doivent être engagés pour étendre les recherches, dont Airbus est prêt à payer une "part significative", a précisé jeudi un porte-parole de l'avionneur à l'AFP, sans donner un montant précis.
Une nouvelle phase de recherche des débris de l'appreil doit commencer après le 22 août, sur une zone plus large, ajoute Airbus. "Nous sommes engagés à contribuer à cette extension", a ajouté le porte-parole.
Le constructeur souligne qu'il souhaite en savoir plus sur les circonstances de la catastrophe, dont les causes restent aujourd'hui inconnues. "Les sondes Pitot (de mesure de vitesse) ont joué un rôle mais elles ne peuvent pas expliquer l'accident" et "il y a quelque chose d'autre que nous ne savons pas et que nous devons comprendre", a expliqué le porte-parole d'Airbus.
Les recherches sont actuellement effectuées avec le navire de l'Institut français de la recherche pour l'exploitation de la mer (Ifremer), le "Pourquoi Pas", équipé de deux véhicules de plongée.
Le 1er juin, un Airbus A330-200 de la compagnie Air France qui assurait la liaison Rio de Janeiro - Paris s'est abîmé en mer avec à son bord 216 passagers et 12 membres d'équipage.
"Nous voulons savoir ce qui s'est passé exactement. Notre priorité absolue est d'améliorer la sécurité du transport aérien", poursuit-il.
Selon la Tribune, Airbus est ainsi prêt à soutenir pour un montant compris entre 12 et 20 millions d'euros, sur une durée de trois mois au moins, les recherches du Bureau d'enquêtes et d'analyse (BEA) français, en charge de l'enquête technique sur l'accident.
Ce chiffre correspond en fait au "montant total" des frais qui doivent être engagés pour étendre les recherches, dont Airbus est prêt à payer une "part significative", a précisé jeudi un porte-parole de l'avionneur à l'AFP, sans donner un montant précis.
Une nouvelle phase de recherche des débris de l'appreil doit commencer après le 22 août, sur une zone plus large, ajoute Airbus. "Nous sommes engagés à contribuer à cette extension", a ajouté le porte-parole.
Le constructeur souligne qu'il souhaite en savoir plus sur les circonstances de la catastrophe, dont les causes restent aujourd'hui inconnues. "Les sondes Pitot (de mesure de vitesse) ont joué un rôle mais elles ne peuvent pas expliquer l'accident" et "il y a quelque chose d'autre que nous ne savons pas et que nous devons comprendre", a expliqué le porte-parole d'Airbus.
Les recherches sont actuellement effectuées avec le navire de l'Institut français de la recherche pour l'exploitation de la mer (Ifremer), le "Pourquoi Pas", équipé de deux véhicules de plongée.
Le 1er juin, un Airbus A330-200 de la compagnie Air France qui assurait la liaison Rio de Janeiro - Paris s'est abîmé en mer avec à son bord 216 passagers et 12 membres d'équipage.
