"Alors que près de la moitié de la production du pays était à l'arrêt les premières semaines de la rébellion, au 11 mars il apparaissait que la production était réduite à une peau de chagrin, notamment en raison des combats", affirme-t-elle.
Auparavant, en février, la production avait diminué d'environ 195.000 barils par jour en moyenne, à 1,385 million de barils par jour (mbj).
"Ce qui devient plus clair, c'est que les exportations du pays, soit environ 1,3 mbj, resteront à l'écart du marché pour un temps considérable en raison des dégâts infligés par la guerre aux infrastructures pétrolières, et aux sanctions internationales", ajoute l'AIE.
La semaine dernière, l'AIE avait estimé que les exportations libyennes de pétrole avaient "ralenti brutalement" et étaient tombées "bien en dessous" de 500.000 barils par jour.
Auparavant, en février, la production avait diminué d'environ 195.000 barils par jour en moyenne, à 1,385 million de barils par jour (mbj).
"Ce qui devient plus clair, c'est que les exportations du pays, soit environ 1,3 mbj, resteront à l'écart du marché pour un temps considérable en raison des dégâts infligés par la guerre aux infrastructures pétrolières, et aux sanctions internationales", ajoute l'AIE.
La semaine dernière, l'AIE avait estimé que les exportations libyennes de pétrole avaient "ralenti brutalement" et étaient tombées "bien en dessous" de 500.000 barils par jour.