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"Dans un rapport annuel sur Bebo qui sera transmis (mercredi aux autorités boursières), AOL indiquera qu'il évalue actuellement ses options stratégiques, qui pourraient comprendre la vente ou la fermeture de Bebo en 2010", indique cette note destinée aux employés d'AOL, qui a été obtenue et diffusée par le Silicon Valley Insider et d'autres blogs technologiques.
"Bebo, malheureusement, est une activité en déclin et qui par conséquent rendrait nécessaires des investissements significatifs pour être en mesure d'être compétitif sur le marché des réseaux sociaux" en ligne, explique le mémo de Jon Brod, un dirigeant d'AOL, qui précise que le groupe "n'est pas en position pour le moment de financer plus amplement Bebo".
"AOL s'engage à travailler rapidement pour déterminer s'il y a des repreneurs intéressés par Bebo et le groupe entend terminer cette évaluation stratégique d'ici à la fin du mois de mai", a-t-il ajouté.
Bebo, un site jugé prometteur il y a deux ans, n'a cessé de perdre du terrain face à des concurrents aussi populaires que Facebook et MySpace.
Time Warner s'est séparé d'AOL en décembre afin d'arrêter les frais d'un des rapprochements les plus désastreux de l'histoire de l'économie moderne.
Le PDG d'AOL, Tim Armstrong, un ancien dirigeant de Google, a dit vouloir recentrer le géant déchu d'internet sur "le contenu, la publicité et les communications", et s'est lancé dans un programme agressif de baisse des coûts.
"Bebo, malheureusement, est une activité en déclin et qui par conséquent rendrait nécessaires des investissements significatifs pour être en mesure d'être compétitif sur le marché des réseaux sociaux" en ligne, explique le mémo de Jon Brod, un dirigeant d'AOL, qui précise que le groupe "n'est pas en position pour le moment de financer plus amplement Bebo".
"AOL s'engage à travailler rapidement pour déterminer s'il y a des repreneurs intéressés par Bebo et le groupe entend terminer cette évaluation stratégique d'ici à la fin du mois de mai", a-t-il ajouté.
Bebo, un site jugé prometteur il y a deux ans, n'a cessé de perdre du terrain face à des concurrents aussi populaires que Facebook et MySpace.
Time Warner s'est séparé d'AOL en décembre afin d'arrêter les frais d'un des rapprochements les plus désastreux de l'histoire de l'économie moderne.
Le PDG d'AOL, Tim Armstrong, un ancien dirigeant de Google, a dit vouloir recentrer le géant déchu d'internet sur "le contenu, la publicité et les communications", et s'est lancé dans un programme agressif de baisse des coûts.
