APRÈS SA MORT : Bisbille chez les Pavarotti


Mercredi 10 Décembre 2008 - 14:53
Canoe.ca


Les trois filles de Luciano Pavarotti sont prêtes à affronter la deuxième femme de leur père pour la fortune de 500M$US.


APRÈS SA MORT : Bisbille chez les Pavarotti
Le ténor italien – mort début septembre d’un cancer du pancréas – avait modifié son testament le mois passé en faveur de Lorenza, Cristina et Giuliana, ses filles issues de son premier mariage.

Cependant, Nicoletta, la deuxième femme de Pavarotti et mère de sa fillette de trois ans Alice, croit qu’elle a droit à plus.

L’entourage s’attend donc à une lutte d’actifs, qui comprend plusieurs maisons, entre autres, à New York, à Monte Carlo et dans la ville de Modena en Italie.

Andrea Strata, un proche, a confié: «C’est très triste – il est encore chaud dans sa tombe et déjà c’est la guerre.»


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Des sources affirment que la relation du chanteur et de Nicoletta avait perdue un peu de vigueur au cours des derniers mois de la vie du ténor. Ils demeuraient ensemble pour le bien d’Alice et c’est tout.

Pavarotti – mort à l’âge de 71 ans – avait supposément rencontré un avocat pour faire modifier son testament en faveur de Lorenza, Cristina et Giuliana ainsi que sa plus petite, Alice.

Un ami a ajouté: «Les affaires qui étaient au nom d’autres membres de la famille ont été rapatriées.»

Le document original avait été créé l’an passé à New York, où Nicoletta passe la majeure partie de son temps.





Des amis clament également que la légende d’opéra s’était rapprochée de sa première femme, Adua Veroni. Ses trois filles s’étaient d’ailleurs rangées du côté de leur mère lorsque Pavarotti était parti épouser Nicoletta.

La femme de son diététiste, Franca, affirme que Nicoletta l’a appelée en panique il y a quelques semaines. Pavarotti en était à ses derniers souffles.

Elle voulait supposément obtenir les papiers des appartements new yorkais du couple et croyait qu’ils étaient peut-être chez les Strata, où son mari avait souvent l’occasion de demeurer.

Franca a confié: «Elle n’arrivait pas du tout à les trouver et était particulièrement inquiète.»

«Elle m’a demandé d’aller voir dans mon coffre-fort au cas où Luciano les y aurait laissé par inadvertance puisqu’il était si souvent chez moi. Mais ils n’y étaient pas. Qui peut savoir!»


           

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