
Le syndicat GdF a prolongé la grève de mercredi 04H00 GMT jusqu'à vendredi 22H00 GMT sans interruption, selon un communiqué publié dans la nuit de lundi à mardi.
Le mouvement, qui dure depuis jeudi, cause chaque jour une centaine d'annulations de vols à Francfort, mais le nombre des annulations diminue jour après jour et concerne essentiellement des trajets intérieurs, les lignes européennes et intercontinentales ayant priorité.
Le gestionnaire de l'aéroport, Fraport, a ainsi déclaré mardi avoir pu assurer la veille "plus de 80%" des rotations de vols (départs et arrivées), après 70% du trafic jeudi et vendredi.
"Fraport est capable de tenir pendant une longue période de grève", selon un communiqué.
Le gestionnaire de l'aéroport et la première compagnie allemande, Lufthansa, qui a son "hub" (grand centre opérationnel) à Francfort et qui est par conséquent la plus touchée par le conflit, travaillent de concert pour remplacer les grévistes par leurs propres salariés.
Mardi, 187 vols sont annulés sur 1.200, selon Fraport, dont 160 pour Lufthansa, qui avait dû annuler 200 vols lundi et 250 vendredi.
Les négociations entre Fraport et GdF sont bloquées, le syndicat restant pour l'instant inflexible sur ses revendications, jugées exorbitantes par Fraport mais aussi par son comité d'entreprise qui y voit une menace pour l'équilibre des conventions collectives au sein du groupe.
Le mouvement, qui dure depuis jeudi, cause chaque jour une centaine d'annulations de vols à Francfort, mais le nombre des annulations diminue jour après jour et concerne essentiellement des trajets intérieurs, les lignes européennes et intercontinentales ayant priorité.
Le gestionnaire de l'aéroport, Fraport, a ainsi déclaré mardi avoir pu assurer la veille "plus de 80%" des rotations de vols (départs et arrivées), après 70% du trafic jeudi et vendredi.
"Fraport est capable de tenir pendant une longue période de grève", selon un communiqué.
Le gestionnaire de l'aéroport et la première compagnie allemande, Lufthansa, qui a son "hub" (grand centre opérationnel) à Francfort et qui est par conséquent la plus touchée par le conflit, travaillent de concert pour remplacer les grévistes par leurs propres salariés.
Mardi, 187 vols sont annulés sur 1.200, selon Fraport, dont 160 pour Lufthansa, qui avait dû annuler 200 vols lundi et 250 vendredi.
Les négociations entre Fraport et GdF sont bloquées, le syndicat restant pour l'instant inflexible sur ses revendications, jugées exorbitantes par Fraport mais aussi par son comité d'entreprise qui y voit une menace pour l'équilibre des conventions collectives au sein du groupe.