"Quand il y a des gens qui se comportent mal, il y a aussi en France une justice. Donc si M. Sarkozy s'estime lésé, qu'il dépose plainte", a fait valoir le Premier ministre.
Patrick Buisson, le conseiller très controversé de l'ancien chef de l'Etat, a plongé la droite dans la stupéfaction et la colère avec la révélation de ses enregistrements de réunions à l'Elysée et de conversations privées, qui s'étalent désormais dans la presse.
"Il y a toujours des dérives individuelles, mais ce n'est pas parce qu'il y a des dérives individuelles que les hommes et femmes politiques sont malhonnêtes", a commenté M. Ayrault.
"Il y a des gens qui se comportent mal, qu'ils soient à gauche ou à droite", a-t-il ajouté, soulignant que l'affaire Jérôme Cahuzac avait été "pour (lui) et pour les Français une grande épreuve".
Pour le Premier ministre, Nicolas Sarkozy "n'a qu'une chose à faire, c'est déposer une plainte à la justice". "Je n'imagine pas qu'il ne va pas le faire", a-t-il ajouté.
"La politique, c'est quelque chose pour moi d'élevé, c'est le sens de l'intérêt général", a fait valoir M. Ayrault.
"Quand je vois des comportements comme ça, je me dis que ça doit dégouter un certain nombre de gens", a regretté le Premier ministre.
Patrick Buisson, le conseiller très controversé de l'ancien chef de l'Etat, a plongé la droite dans la stupéfaction et la colère avec la révélation de ses enregistrements de réunions à l'Elysée et de conversations privées, qui s'étalent désormais dans la presse.
"Il y a toujours des dérives individuelles, mais ce n'est pas parce qu'il y a des dérives individuelles que les hommes et femmes politiques sont malhonnêtes", a commenté M. Ayrault.
"Il y a des gens qui se comportent mal, qu'ils soient à gauche ou à droite", a-t-il ajouté, soulignant que l'affaire Jérôme Cahuzac avait été "pour (lui) et pour les Français une grande épreuve".
Pour le Premier ministre, Nicolas Sarkozy "n'a qu'une chose à faire, c'est déposer une plainte à la justice". "Je n'imagine pas qu'il ne va pas le faire", a-t-il ajouté.
"La politique, c'est quelque chose pour moi d'élevé, c'est le sens de l'intérêt général", a fait valoir M. Ayrault.
"Quand je vois des comportements comme ça, je me dis que ça doit dégouter un certain nombre de gens", a regretté le Premier ministre.