L'inauguration de M. Zuma, 67 ans, est prévue vers 11H00 (09H00 GMT) dans les bâtiments de l'Union, qui abritent le siège du gouvernement et les bureaux de la présidence.
Une trentaine de chefs d'Etat et de gouvernement, essentiellement africains, doivent participer à la cérémonie, dont les controversés président zimbabwéen Robert Mugabe et le roi Mswati III du Swaziland. Le président mozambicain Armando Guebuza et son homologue libyen Mouammar Kadhafi font partie des dirigeants attendus.
Bravant le froid et la pluie, des milliers de curieux, certains emmitouflés dans des couvertures, se pressaient samedi matin sur les pelouses qui font face aux imposants bâtiments de l'Union.
"Je suis venu du Kwazulu Natal (province de l'est dont est originaire M. Zuma) pour assister à cet événement, je ne le manquerai pour rien au monde", a expliqué Sipho Zondi, après avoir passé la nuit dans le train avec six amis.
"La pluie porte chance. Dans la culture africaine, quand il pleut pendant une cérémonie, cela signifie que tout va bien aller pour vous. Donc dans ce cas, cela veut dire que le mandat de Zuma va bien se passer", a-t-il assuré.
"Nous avons soutenu Zuma pendant ses batailles judiciaires injustifiées. Il est maintenant ici pour diriger le pays", a estimé Emmanuel Sikosana, 33 ans, venu du township de Mamelodi dans les alentours de Pretoria.
M. Zuma a échappé à plusieurs déboires judiciaires: il a été acquitté pour viol en 2006 et des accusations de corruption contre lui ont été levées à quelques semaines des élections générales du 22 avril.
Mercredi, il a été élu sans surprise président par le Parlement, après la victoire écrasante de son parti, le Congrès national africain (ANC), aux élections législatives.
Ce tribun populaire et polygame va devenir le quatrième président de l'Afrique du Sud post-apartheid.
Une trentaine de chefs d'Etat et de gouvernement, essentiellement africains, doivent participer à la cérémonie, dont les controversés président zimbabwéen Robert Mugabe et le roi Mswati III du Swaziland. Le président mozambicain Armando Guebuza et son homologue libyen Mouammar Kadhafi font partie des dirigeants attendus.
Bravant le froid et la pluie, des milliers de curieux, certains emmitouflés dans des couvertures, se pressaient samedi matin sur les pelouses qui font face aux imposants bâtiments de l'Union.
"Je suis venu du Kwazulu Natal (province de l'est dont est originaire M. Zuma) pour assister à cet événement, je ne le manquerai pour rien au monde", a expliqué Sipho Zondi, après avoir passé la nuit dans le train avec six amis.
"La pluie porte chance. Dans la culture africaine, quand il pleut pendant une cérémonie, cela signifie que tout va bien aller pour vous. Donc dans ce cas, cela veut dire que le mandat de Zuma va bien se passer", a-t-il assuré.
"Nous avons soutenu Zuma pendant ses batailles judiciaires injustifiées. Il est maintenant ici pour diriger le pays", a estimé Emmanuel Sikosana, 33 ans, venu du township de Mamelodi dans les alentours de Pretoria.
M. Zuma a échappé à plusieurs déboires judiciaires: il a été acquitté pour viol en 2006 et des accusations de corruption contre lui ont été levées à quelques semaines des élections générales du 22 avril.
Mercredi, il a été élu sans surprise président par le Parlement, après la victoire écrasante de son parti, le Congrès national africain (ANC), aux élections législatives.
Ce tribun populaire et polygame va devenir le quatrième président de l'Afrique du Sud post-apartheid.