Mahmoud Ahmadinejad et Bachar al-Assad
L'entretien entre les deux chefs d'Etat s'est déroulé à l'aéroport de Damas en présence notamment du ministre syrien des Affaires étrangères Walid Mouallem et de la ministre syrienne de l'Economie. Il a porté sur les "derniers développements régionaux et internationaux", a indiqué une source diplomatique.
Lors de cette rencontre, qui a duré deux heures, les deux chefs d'Etat ont affirmé "leur volonté de poursuivre les consultations entre les deux pays dans l'intérêt la région", a-t-on appris de source iranienne.
MM. Assad et Ahmadinejad ont réaffirmé la solidité des relations entre Damas et Téhéran et leur attachement à les développer dans tous les domaines, selon la même source.
Selon l'agence officielle Sana, les deux présidents ont jugé nécessaire "d'élever le niveau de la coopération économique notamment dans les domaines du pétrole, du gaz et des chemins de fer, et de la coopération touristique".
Les deux chefs d'Etat ont par ailleurs jugé "important" que l'Irak sorte de la grave crise politique liée à la formation d'un gouvernement dans laquelle il est plongé depuis les élections de mars, afin que "l'unité et la stabilité de ce pays soit préservée", a jouté Sana sans autre détail.
Mahmoud Ahmadinejad, dont la dernière visite en Syrie date de février dernier, a quitté en fin de matinée Damas, première étape d'une tournée qui doit le conduire en Algérie et aux Etats-Unis.
Cette rencontre avec le président Assad a eu lieu deux jours après la visite de l'émissaire américain pour le Proche-Orient dans la capitale syrienne.
George Mitchell, qui a participé aux négociations directes entre Israéliens et Palestiniens qui ont repris le 2 septembre, a alors réaffirmé que l'objectif américain restait "une paix globale" dans la région, "incluant la paix entre Israël et la Syrie".
Washington, dont les relations avec Damas ont commencé à s'améliorer avec l'arrivée à la Maison Blanche du président Barack Obama en janvier 2009, espère l'aide du président Assad dans le processus de paix entre Israël et les Palestiniens, et tente d'éloigner Damas de son proche allié iranien.
Mais M. Obama a renouvelé en mai 2010 pour un an les sanctions américaines visant la Syrie, en l'accusant de soutenir des organisations "terroristes". Les Etats-Unis ont récemment accusé Damas et Téhéran d'armer le mouvement chiite libanais Hezbollah avec des missiles et roquettes de plus en plus sophistiqués.
Lors de cette rencontre, qui a duré deux heures, les deux chefs d'Etat ont affirmé "leur volonté de poursuivre les consultations entre les deux pays dans l'intérêt la région", a-t-on appris de source iranienne.
MM. Assad et Ahmadinejad ont réaffirmé la solidité des relations entre Damas et Téhéran et leur attachement à les développer dans tous les domaines, selon la même source.
Selon l'agence officielle Sana, les deux présidents ont jugé nécessaire "d'élever le niveau de la coopération économique notamment dans les domaines du pétrole, du gaz et des chemins de fer, et de la coopération touristique".
Les deux chefs d'Etat ont par ailleurs jugé "important" que l'Irak sorte de la grave crise politique liée à la formation d'un gouvernement dans laquelle il est plongé depuis les élections de mars, afin que "l'unité et la stabilité de ce pays soit préservée", a jouté Sana sans autre détail.
Mahmoud Ahmadinejad, dont la dernière visite en Syrie date de février dernier, a quitté en fin de matinée Damas, première étape d'une tournée qui doit le conduire en Algérie et aux Etats-Unis.
Cette rencontre avec le président Assad a eu lieu deux jours après la visite de l'émissaire américain pour le Proche-Orient dans la capitale syrienne.
George Mitchell, qui a participé aux négociations directes entre Israéliens et Palestiniens qui ont repris le 2 septembre, a alors réaffirmé que l'objectif américain restait "une paix globale" dans la région, "incluant la paix entre Israël et la Syrie".
Washington, dont les relations avec Damas ont commencé à s'améliorer avec l'arrivée à la Maison Blanche du président Barack Obama en janvier 2009, espère l'aide du président Assad dans le processus de paix entre Israël et les Palestiniens, et tente d'éloigner Damas de son proche allié iranien.
Mais M. Obama a renouvelé en mai 2010 pour un an les sanctions américaines visant la Syrie, en l'accusant de soutenir des organisations "terroristes". Les Etats-Unis ont récemment accusé Damas et Téhéran d'armer le mouvement chiite libanais Hezbollah avec des missiles et roquettes de plus en plus sophistiqués.