Mahmoud Ahmadinejad
"La résolution n'a pas de valeur légale et elle n'aura aucun effet" a lancé le président iranien en visite sur le site de l'Expo universelle de Shanghai (est), "c'est un bout de papier, et un bout de papier sans valeur".
Le Conseil de sécurité de l'ONU a voté mercredi un quatrième train de sanctions contre l'Iran, financières et militaires.
"La période d'intimidation et de coercition est révolue", a ajouté le président Ahmadinejad.
"Nous avons toujours dit que le Conseil de sécurité de l'ONU est un instrument entre les mains des Etats-Unis. Ce n'est pas démocratique, c'est un instrument dictatorial", a-t-il poursuivi lors d'une conférence de presse.
Ces sanctions avaient déjà été jugées "bonnes pour la poubelle" par M. Ahmadinejad, qui dément régulièrement que son pays développe un programme nucléaire militaire, comme les Occidentaux l'en soupçonnent.
"Cinq puissances ont le droit de veto ainsi que les bombes nucléaires et elles veulent monopoliser l'énergie nucléaire", a-t-il dit, en référence aux cinq membres permaments du Conseil de sécurité: Etats-Unis, Royaume-Uni, France, Chine et Russie.
M. Ahmadinejad a lancé une nouvelle salve contre les Etats-Unis, qui ont joué un rôle moteur pendant des mois pour faire voter la résolution mercredi.
Le président Barack Obama "s'est lancé sur le même chemin que George W. Bush", a-t-il dit, "il avait dit qu'il éliminerait l'unilatéralisme de la précédente administration".
"Le gouvernement des Etats-Unis veut avaler tout le Proche-Orient", a-t-il poursuivi, estimant aussi que "les Etats-Unis ont un régime sioniste avec des bombes nucléaires dans la région".
"Le régime sioniste ne survivra pas, il est condamné", a-t-il lancé.
M. Ahmadinejad, a qui l'on demandait s'il en voulait à la Chine, son allié traditionnel, de s'être associé aux sanctions, a répondu que l'Iran "n'a pas de problème avec les autres" pays que les Etats-Unis.
Par ailleurs, le ministre iranien des Affaires étrangères, Manouchehr Mottaki, a insisté vendredi sur le caractère pacifique du programme nucléaire de son pays et jugé "injustes" les nouvelles sanctions adoptées par l'ONU contre Téhéran.
Le Conseil de sécurité de l'ONU a voté mercredi un quatrième train de sanctions contre l'Iran, financières et militaires.
"La période d'intimidation et de coercition est révolue", a ajouté le président Ahmadinejad.
"Nous avons toujours dit que le Conseil de sécurité de l'ONU est un instrument entre les mains des Etats-Unis. Ce n'est pas démocratique, c'est un instrument dictatorial", a-t-il poursuivi lors d'une conférence de presse.
Ces sanctions avaient déjà été jugées "bonnes pour la poubelle" par M. Ahmadinejad, qui dément régulièrement que son pays développe un programme nucléaire militaire, comme les Occidentaux l'en soupçonnent.
"Cinq puissances ont le droit de veto ainsi que les bombes nucléaires et elles veulent monopoliser l'énergie nucléaire", a-t-il dit, en référence aux cinq membres permaments du Conseil de sécurité: Etats-Unis, Royaume-Uni, France, Chine et Russie.
M. Ahmadinejad a lancé une nouvelle salve contre les Etats-Unis, qui ont joué un rôle moteur pendant des mois pour faire voter la résolution mercredi.
Le président Barack Obama "s'est lancé sur le même chemin que George W. Bush", a-t-il dit, "il avait dit qu'il éliminerait l'unilatéralisme de la précédente administration".
"Le gouvernement des Etats-Unis veut avaler tout le Proche-Orient", a-t-il poursuivi, estimant aussi que "les Etats-Unis ont un régime sioniste avec des bombes nucléaires dans la région".
"Le régime sioniste ne survivra pas, il est condamné", a-t-il lancé.
M. Ahmadinejad, a qui l'on demandait s'il en voulait à la Chine, son allié traditionnel, de s'être associé aux sanctions, a répondu que l'Iran "n'a pas de problème avec les autres" pays que les Etats-Unis.
Par ailleurs, le ministre iranien des Affaires étrangères, Manouchehr Mottaki, a insisté vendredi sur le caractère pacifique du programme nucléaire de son pays et jugé "injustes" les nouvelles sanctions adoptées par l'ONU contre Téhéran.