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"La France a été notre plus gros marché depuis Casablanca (...) Notre objectif est d'augmenter nos fréquences et que les vols hebdomadaires deviennent des dessertes quotidiennes", a-t-il déclaré lors d'une conférence de presse à Paris.
Lancée en avril 2009, Air Arabia Maroc, basée à Casablanca, propose actuellement treize vols hebdomadaires entre Casablanca et Paris (un vol quotidien), Lyon (trois vols hebdomadaires) et Marseille (trois vols hebdomadaires) avec des Airbus A320 neufs.
Fin mars, elle passera à seize vols avec le lancement de la ligne Casablanca-Montpellier et espère proposer au total cette année entre 20 et 25 vols.
Relevant le bon taux de remplissage des avions (71%), M. Ali a estimé que ces résultats était de bon augure pour l'avenir du transporteur sur le marché France-Maroc.
Il s'est dit "prêt à saisir toutes les opportunités" pour gagner de nouvelles parts de marché en dépit de la vive concurrence sur ce segment. Il a ainsi annoncé qu'il envisageait de développer des liaisons avec Marrakech.
Interrogé par l'AFP sur la présence d'autres compagnies à bas coûts sur ce segment, à l'instar d'EasyJet, le patron a déclaré: "ce sera difficile mais nous trouverons notre place".
Il a en outre souligné que si des opportunités se présentaient pour la Tunisie, il les saisirait également.
Air Arabia Maroc est le fruit d'un partenariat entre Air Arabia, Regional airlines (première compagnie privée au Maroc) et la banque d'affaires bahreïnie Ithmar Bank.
La compagnie cible à la fois la communauté marocaine domiciliée en France, les voyageurs d'affaires et les touristes.
Lancée en 2003, Air Arabia, cotée sur le marché de Dubai, est le principal transporteur à bas coûts du Moyen-Orient et de l'Afrique du Nord.
La compagnie exploite une importante flotte Airbus avec 21 A320 et dessert 60 destinations. Elle a en outre en commande 44 nouveaux A320, dont six doivent être livrés cette année et huit en 2011.
M. Ali a aussi confirmé l'ouverture d'une troisième plateforme de correspondance (hub) en Egypte, basée à Alexandrie, et qu'il compte ouvrir au printemps.
Air Arabia veut en faire un "lien low cost" entre l'Europe et les Emirats Arabes Unis, a-t-il indiqué.
Lancée en avril 2009, Air Arabia Maroc, basée à Casablanca, propose actuellement treize vols hebdomadaires entre Casablanca et Paris (un vol quotidien), Lyon (trois vols hebdomadaires) et Marseille (trois vols hebdomadaires) avec des Airbus A320 neufs.
Fin mars, elle passera à seize vols avec le lancement de la ligne Casablanca-Montpellier et espère proposer au total cette année entre 20 et 25 vols.
Relevant le bon taux de remplissage des avions (71%), M. Ali a estimé que ces résultats était de bon augure pour l'avenir du transporteur sur le marché France-Maroc.
Il s'est dit "prêt à saisir toutes les opportunités" pour gagner de nouvelles parts de marché en dépit de la vive concurrence sur ce segment. Il a ainsi annoncé qu'il envisageait de développer des liaisons avec Marrakech.
Interrogé par l'AFP sur la présence d'autres compagnies à bas coûts sur ce segment, à l'instar d'EasyJet, le patron a déclaré: "ce sera difficile mais nous trouverons notre place".
Il a en outre souligné que si des opportunités se présentaient pour la Tunisie, il les saisirait également.
Air Arabia Maroc est le fruit d'un partenariat entre Air Arabia, Regional airlines (première compagnie privée au Maroc) et la banque d'affaires bahreïnie Ithmar Bank.
La compagnie cible à la fois la communauté marocaine domiciliée en France, les voyageurs d'affaires et les touristes.
Lancée en 2003, Air Arabia, cotée sur le marché de Dubai, est le principal transporteur à bas coûts du Moyen-Orient et de l'Afrique du Nord.
La compagnie exploite une importante flotte Airbus avec 21 A320 et dessert 60 destinations. Elle a en outre en commande 44 nouveaux A320, dont six doivent être livrés cette année et huit en 2011.
M. Ali a aussi confirmé l'ouverture d'une troisième plateforme de correspondance (hub) en Egypte, basée à Alexandrie, et qu'il compte ouvrir au printemps.
Air Arabia veut en faire un "lien low cost" entre l'Europe et les Emirats Arabes Unis, a-t-il indiqué.
