
Le journaliste, un professionnel expérimenté que la chaîne avait recruté en octobre 2010 pour son site web, a raconté par écrit à l'AFP qu'il avait réalisé les tests médicaux requis pour son permis de résidence au Qatar.
Il n'a été informé de sa séropositivité que lorsqu'il l'a vu écrit sur sa carte de santé, reçue quelques mois plus tard.
"Le jour suivant, j'ai été appelé par la direction des ressources humaines d'Al Jazeera et on m'a demandé de venir à leur bureau le lendemain matin à 7h00", a-t-il confié, tout en requérant l'anonymat. Il s'est alors présenté comme prévu mais dit-il "j'ai été emmené en prison par un des vigiles d'Al Jazeera et incarcéré". Le jour d'après, il
était dans l'avion pour l'Afrique du Sud.
"Personne de la direction d'Al Jazeera ne m'a contacté depuis mon expulsion", se plaint-il aujourd'hui.
"Je voudrais simplement retrouver mon travail, un travail que je pourrais d'ailleurs faire depuis les bureaux de la chaîne à Johannesburg", a-t-il ajouté.
Un porte-parole d'Al Jazeera a simplement indiqué à l'AFP que "tout employé venant dans un pays étranger doit respecter les lois locales sur l'immigration".
"Al Jazeera est un employeur soucieux d'égalité mais il ne peut évidemment pas contourner les réglementations nationales des pays où il est implanté dans le monde, quel que soit le bureau".
Le Qatar interdit l'entrée aux personnes porteuses du virus du sida, une loi contraire au droit international, selon Section 27.
Comme le journaliste ne peut pas retourner là-bas pour contester son licenciement, Section 27 a demandé à l'Afrique du Sud de saisir l'Organisation international du travail (OIT) et de porter plainte contre le Qatar.
Il n'a été informé de sa séropositivité que lorsqu'il l'a vu écrit sur sa carte de santé, reçue quelques mois plus tard.
"Le jour suivant, j'ai été appelé par la direction des ressources humaines d'Al Jazeera et on m'a demandé de venir à leur bureau le lendemain matin à 7h00", a-t-il confié, tout en requérant l'anonymat. Il s'est alors présenté comme prévu mais dit-il "j'ai été emmené en prison par un des vigiles d'Al Jazeera et incarcéré". Le jour d'après, il
était dans l'avion pour l'Afrique du Sud.
"Personne de la direction d'Al Jazeera ne m'a contacté depuis mon expulsion", se plaint-il aujourd'hui.
"Je voudrais simplement retrouver mon travail, un travail que je pourrais d'ailleurs faire depuis les bureaux de la chaîne à Johannesburg", a-t-il ajouté.
Un porte-parole d'Al Jazeera a simplement indiqué à l'AFP que "tout employé venant dans un pays étranger doit respecter les lois locales sur l'immigration".
"Al Jazeera est un employeur soucieux d'égalité mais il ne peut évidemment pas contourner les réglementations nationales des pays où il est implanté dans le monde, quel que soit le bureau".
Le Qatar interdit l'entrée aux personnes porteuses du virus du sida, une loi contraire au droit international, selon Section 27.
Comme le journaliste ne peut pas retourner là-bas pour contester son licenciement, Section 27 a demandé à l'Afrique du Sud de saisir l'Organisation international du travail (OIT) et de porter plainte contre le Qatar.