Le ministre saoudien s’exprimait au cours d’une conférence de presse conjointe avec ses homologues des pays qui boycottent le Qatar au terme d’une réunion à Manama, capitale du Bahreïn.
Le ministre évoquait ce point au lendemain d’une accusation adressée par Doha à Riyad de dresser des entraves sur la voie des pèlerins qataris.
« Le royaume n’accepte pas qu’il y ait une politisation du pèlerinage dès lors qu’il s’agit de rites sacrés et nous rejetons la tentative du Qatar de politiser cette question et nous considérons cela comme un manque de respect à l’endroit du pèlerinage et des pèlerins », a-t-il expliqué.
« Nous souhaitons la bienvenue du Qatar comme nous le souhaitons à chaque musulman partout dans le monde », a-t-il insisté.
Samedi, le Comité national qatari des droits de l’Homme (Indépendant) a annoncé avoir « pris attache avec le rapporteur spécial de l’ONU en charge de la liberté religieuse, au sujet des entraves et des difficultés établies devant les pèlerins de l’Etat du Qatar parmi les citoyens et les résidents pour l’accomplissement de leurs rites » qui commenceront au mois d’août.
La réunion de Manama est la deuxième du genre. Les quatre pays ont tenu leur première réunion au Caire, le 5 juillet dernier, soit un mois après l’enclenchement de la crise.
La réunion a abouti à des mises en garde contre e Qatar sans pour autant prendre de mesures concrètes à son égard et l’annonce de six principes.
Le 5 juin dernier, l’Arabie Saoudite, les Emirats Arabes Unis, le Bahreïn et l’Egypte ont rompu leurs relations diplomatiques avec le Qatar. Les trois pays du Golfe ont également imposé des mesures coercitives pour « soutien de Doha au terrorisme » ce qui a été réfuté en bloc par le Qatar.
Plus tard, les quatre pays ont présenté une liste contenant 13 demandes dont la fermeture de la chaîne satellitaire al-Jazeera avant de réduire le plafond des demandes à six principes seulement.
De son côté, Doha annonçait sa disponibilité à dialoguer avec les pays du blocus dans le but de résoudre le différend sur la base de deux principes : le dialogue ne doit pas être sur la base de diktats et doit se dérouler dans le cadre du respecte de la souveraineté et de la volonté de chaque Etat.
Le ministre évoquait ce point au lendemain d’une accusation adressée par Doha à Riyad de dresser des entraves sur la voie des pèlerins qataris.
« Le royaume n’accepte pas qu’il y ait une politisation du pèlerinage dès lors qu’il s’agit de rites sacrés et nous rejetons la tentative du Qatar de politiser cette question et nous considérons cela comme un manque de respect à l’endroit du pèlerinage et des pèlerins », a-t-il expliqué.
« Nous souhaitons la bienvenue du Qatar comme nous le souhaitons à chaque musulman partout dans le monde », a-t-il insisté.
Samedi, le Comité national qatari des droits de l’Homme (Indépendant) a annoncé avoir « pris attache avec le rapporteur spécial de l’ONU en charge de la liberté religieuse, au sujet des entraves et des difficultés établies devant les pèlerins de l’Etat du Qatar parmi les citoyens et les résidents pour l’accomplissement de leurs rites » qui commenceront au mois d’août.
La réunion de Manama est la deuxième du genre. Les quatre pays ont tenu leur première réunion au Caire, le 5 juillet dernier, soit un mois après l’enclenchement de la crise.
La réunion a abouti à des mises en garde contre e Qatar sans pour autant prendre de mesures concrètes à son égard et l’annonce de six principes.
Le 5 juin dernier, l’Arabie Saoudite, les Emirats Arabes Unis, le Bahreïn et l’Egypte ont rompu leurs relations diplomatiques avec le Qatar. Les trois pays du Golfe ont également imposé des mesures coercitives pour « soutien de Doha au terrorisme » ce qui a été réfuté en bloc par le Qatar.
Plus tard, les quatre pays ont présenté une liste contenant 13 demandes dont la fermeture de la chaîne satellitaire al-Jazeera avant de réduire le plafond des demandes à six principes seulement.
De son côté, Doha annonçait sa disponibilité à dialoguer avec les pays du blocus dans le but de résoudre le différend sur la base de deux principes : le dialogue ne doit pas être sur la base de diktats et doit se dérouler dans le cadre du respecte de la souveraineté et de la volonté de chaque Etat.