Le président du Parti pour la Culture et la Démocratie (RCD), le député Saïd Sadi, s'est retrouvé encerclé, avant même l'heure prévue du début de la marche, 11h00 (10h00 GMT), par les forces de l'ordre sur la Place des Martyrs.
Les forces de l'ordre ont réussi à repousser vers le front de mer tout proche les partisans du RCD réunis sous la bannière de la Coordination nationale pour le changement et la démocratie (CNCD), un mouvement né il y a un mois mais déjà scindé en deux.
Une vingtaine de partisans du président Abdelaziz Bouteflika sont apparus. Munis de portraits du dirigeant, ils scandaient son nom et affichaient une pancarte en arabe: "Les Algériens sont pro-Bouteflika, ils ne veulent pas de la Coordination des avides".
La police placée entre les deux camps a empêché tout affrontement.
Le dispositif pour bloquer cette troisième manifestation en un mois en faveur du changement politique en Algérie était moindre cette fois-ci face à une opposition divisée.
La manifestation devait partir de la Place des Martyrs en direction de celle du 1er Mai, à quelque 4 km de là, comme pour les manifestations avortées des 12 et 19 février derniers, mais avec un itinéraire inversé.
Le nouveau point de départ est plus proche de l'Assemblée populaire nationale (la chambre des députés), une étape majeure de la marche.
Le périmètre de la Place des Martyrs était quadrillé par les forces de l'ordre et des véhicules blindés. Tous les accès piétons ont été bouclés par des centaines de policiers, dotés de casques et de boucliers, pour empêcher tout rassemblement.
Au dessus du centre de la capitale, un hélicoptère tournoyait depuis le début de la matinée.
Les autorités algériennes ont levé jeudi comme promis l'état d'urgence décrété il y a 19 ans et l'opposition s'est divisée cette semaine: le camp de la société civile et des syndicats autonomes de la CNCD n'était pas présent samedi alors que M. Sadi et ses partisans veulent continuer à manifester tous les samedis.
Enfin, l'un des fondateurs de la CNCD, l'universitaire et journalise Fodil Boumala, a annoncé qu'il avait démissionné du mouvement, ne pouvant cautionner "sa scission".
Les forces de l'ordre ont réussi à repousser vers le front de mer tout proche les partisans du RCD réunis sous la bannière de la Coordination nationale pour le changement et la démocratie (CNCD), un mouvement né il y a un mois mais déjà scindé en deux.
Une vingtaine de partisans du président Abdelaziz Bouteflika sont apparus. Munis de portraits du dirigeant, ils scandaient son nom et affichaient une pancarte en arabe: "Les Algériens sont pro-Bouteflika, ils ne veulent pas de la Coordination des avides".
La police placée entre les deux camps a empêché tout affrontement.
Le dispositif pour bloquer cette troisième manifestation en un mois en faveur du changement politique en Algérie était moindre cette fois-ci face à une opposition divisée.
La manifestation devait partir de la Place des Martyrs en direction de celle du 1er Mai, à quelque 4 km de là, comme pour les manifestations avortées des 12 et 19 février derniers, mais avec un itinéraire inversé.
Le nouveau point de départ est plus proche de l'Assemblée populaire nationale (la chambre des députés), une étape majeure de la marche.
Le périmètre de la Place des Martyrs était quadrillé par les forces de l'ordre et des véhicules blindés. Tous les accès piétons ont été bouclés par des centaines de policiers, dotés de casques et de boucliers, pour empêcher tout rassemblement.
Au dessus du centre de la capitale, un hélicoptère tournoyait depuis le début de la matinée.
Les autorités algériennes ont levé jeudi comme promis l'état d'urgence décrété il y a 19 ans et l'opposition s'est divisée cette semaine: le camp de la société civile et des syndicats autonomes de la CNCD n'était pas présent samedi alors que M. Sadi et ses partisans veulent continuer à manifester tous les samedis.
Enfin, l'un des fondateurs de la CNCD, l'universitaire et journalise Fodil Boumala, a annoncé qu'il avait démissionné du mouvement, ne pouvant cautionner "sa scission".