L'attentat, qui a fait également des dizaines de blessés, s'est produit moins de dix minutes après la rupture du jeûne du ramadan, vers 19H30 (18H30 GMT), quand deux kamikazes, dont l'un à moto, se sont fait exploser à quelques secondes d'intervalle devant l'entrée du mess des officiers de l'école militaire, a précisé le quotidien francophone El Watan sur son site internet.
Cette information n'a pas été confirmée de source officielle.
Parmi les victimes figurent 16 militaires et deux civils, a précisé une source hospitalière.
Les blessés ont été évacués vers les hô pitaux des villes voisines de Sidi Ghiles et de Tipaza et vers l'hô pital central de l'armée à Aïn-Naadja à Alger, a indiqué une source hospitalière.
Selon El Watan, les deux kamikazes voulaient faire un nombre important de victimes en tentant de s'introduire à l'intérieur du mess des officiers de l'école au moment ou tous les militaires étaient rassemblés pour rompre le jeûne.
Les groupes islamistes ont multiplié depuis le début du ramadan, le 1er août, les attentats à l'est d'Alger, particulièrement en Kabylie.
Deux policiers et un militaire ont été tués mardi soir dans deux attentats distincts dans la région de Bordj Bou Arreridj, à quelque 220 km sud-est de la capitale, et Boumerdes (50 km à l'est d'Alger).
Trois civils ont également été tués et deux autres blessés le 19 août près de la commune de Maâtkas, à 25 kilomètres au sud de Tizi Ouzou, en Kabylie (110 km à l'est d'Alger) lors d'un accrochage avec des hommes armés venus kidnapper un habitant de ce village.
Tizi Ouzou avait été le théâtre le 14 août d'un attentat-suicide, revendiqué par la branche maghrébine d'A-Qaïda (Aqmi), contre un commissariat de cette ville et qui avait fait 33 blessés, parmi lesquels deux Chinois.
Le mois du ramadan est considéré par les groupes armés islamistes comme une période propice au djihad.
La plupart des attaques contre les forces de sécurité sont attribuées à Aqmi, dont des groupes sont actifs en Kabylie.
Cette information n'a pas été confirmée de source officielle.
Parmi les victimes figurent 16 militaires et deux civils, a précisé une source hospitalière.
Les blessés ont été évacués vers les hô pitaux des villes voisines de Sidi Ghiles et de Tipaza et vers l'hô pital central de l'armée à Aïn-Naadja à Alger, a indiqué une source hospitalière.
Selon El Watan, les deux kamikazes voulaient faire un nombre important de victimes en tentant de s'introduire à l'intérieur du mess des officiers de l'école au moment ou tous les militaires étaient rassemblés pour rompre le jeûne.
Les groupes islamistes ont multiplié depuis le début du ramadan, le 1er août, les attentats à l'est d'Alger, particulièrement en Kabylie.
Deux policiers et un militaire ont été tués mardi soir dans deux attentats distincts dans la région de Bordj Bou Arreridj, à quelque 220 km sud-est de la capitale, et Boumerdes (50 km à l'est d'Alger).
Trois civils ont également été tués et deux autres blessés le 19 août près de la commune de Maâtkas, à 25 kilomètres au sud de Tizi Ouzou, en Kabylie (110 km à l'est d'Alger) lors d'un accrochage avec des hommes armés venus kidnapper un habitant de ce village.
Tizi Ouzou avait été le théâtre le 14 août d'un attentat-suicide, revendiqué par la branche maghrébine d'A-Qaïda (Aqmi), contre un commissariat de cette ville et qui avait fait 33 blessés, parmi lesquels deux Chinois.
Le mois du ramadan est considéré par les groupes armés islamistes comme une période propice au djihad.
La plupart des attaques contre les forces de sécurité sont attribuées à Aqmi, dont des groupes sont actifs en Kabylie.