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Ces résultats préliminaires ont été rendus publics par le ministre de l'Intérieur, Noureddine Yazid Zerhouni, au cours d'une conférence de presse vendredi à Alger.
Mme Louiza Hanoune du Parti des travailleurs (PT) est arrivée deuxième, mais loin derrière Abdelaziz Bouteflika, avec 4,22%.
Les résultats définitifs seront proclamés par le Conseil constitutionnel d'ici une dizaine de jours.
Mais ce ne sera qu'une formalité, l'opération devant passer comme une lettre à la poste.
Si la victoire du président sortant était attendue, le taux de participation annoncé par les autorités a surpris de nombreux Algériens.
Ce taux, officiellement de 74,54 %, est jugé "exagéré" par certains candidats, des analystes et les partis politiques d'opposition qui avaient appelé au boycott du scrutin
Plus de 20 millions d'Algériens étaient appelés à déposer leur bulletin dans l'urne. Mais jusqu'à la mi-journée, les électeurs ne se bousculaient pas devant de nombreux bureaux de vote. Même les personnes ayant voté pour le candidat Bouteflika estiment que ce taux est "excessif", voire "démesuré".
Certains n'hésitent pas à souligner que ce chiffre risque de discréditer le scrutin.
"Ce ne sont que des allégations", a rétorqué Nourredine Yazid Zerhouni. "Bouteflika n'a pas besoin d'une mascarade pour être réélu", avait lancé un groupe de jeunes qui défilait dans les rues d'Alger mercredi pour fêter, déjà, la victoire de leur candidat.
Abdelaziz Bouteflika a affronté cinq adversaires de petit calibre, très peu connus du grand public.
Mme Louiza Hanoune du Parti des travailleurs (PT) est arrivée deuxième, mais loin derrière Abdelaziz Bouteflika, avec 4,22%.
Les résultats définitifs seront proclamés par le Conseil constitutionnel d'ici une dizaine de jours.
Mais ce ne sera qu'une formalité, l'opération devant passer comme une lettre à la poste.
Si la victoire du président sortant était attendue, le taux de participation annoncé par les autorités a surpris de nombreux Algériens.
Ce taux, officiellement de 74,54 %, est jugé "exagéré" par certains candidats, des analystes et les partis politiques d'opposition qui avaient appelé au boycott du scrutin
Plus de 20 millions d'Algériens étaient appelés à déposer leur bulletin dans l'urne. Mais jusqu'à la mi-journée, les électeurs ne se bousculaient pas devant de nombreux bureaux de vote. Même les personnes ayant voté pour le candidat Bouteflika estiment que ce taux est "excessif", voire "démesuré".
Certains n'hésitent pas à souligner que ce chiffre risque de discréditer le scrutin.
"Ce ne sont que des allégations", a rétorqué Nourredine Yazid Zerhouni. "Bouteflika n'a pas besoin d'une mascarade pour être réélu", avait lancé un groupe de jeunes qui défilait dans les rues d'Alger mercredi pour fêter, déjà, la victoire de leur candidat.
Abdelaziz Bouteflika a affronté cinq adversaires de petit calibre, très peu connus du grand public.
