Le but de cette convocation était de lui exprimer le rejet par Alger des propos tenus par le ministre marocain des Affaires étrangères, Nasser Bourita, au lendemain de la rupture des relations diplomatiques entre le Maroc et l’Iran, selon la même source.
«L’ambassadeur du Royaume du Maroc a été reçu, ce jour, par le secrétaire général du ministère des Affaires étrangères», a indiqué à l’agence officielle, APS, le porte-parole des AE, Abdelaziz Benali Chérif.
«Il lui a fait part du rejet par les autorités algériennes des propos totalement infondés mettant indirectement en cause l’Algérie, tenus par son ministre des Affaires étrangères à l’occasion de l’annonce par ce dernier de la rupture des relations diplomatiques entre le Royaume du Maroc et la République islamique d’Iran», a-t-il précisé.
Mardi, le chef de la diplomatie marocaine, cité par les médias de son pays, avait accusé le mouvement chiite Hezbollah de soutenir le front Polisario et en accusant indirectement Alger d’avoir permis le déplacement à Tindouf, région du sud-ouest d’Alger où se trouvent les réfugiés sahraouis, d’instructeurs de ce mouvement.
Ce n’est pas la première fois que des mini-crises diplomatiques et des rappels d’ambassadeurs ponctuent les relations entre Alger et Rabat avec en toile de fond la question sahraouie.
En octobre dernier, l’ambassadeur marocain avait été rappelé dans son pays pendant un mois après des propos du ministre algérien des affaires étrangères, Abdelkader Messahel, accusant les entreprises marocaines de « blanchir l’argent du hachich » en Afrique.
En septembre, Rabat avait rappelé son ambassadeur après qu’elle a accusé l’Algérie d’avoir facilité l’entrée dans son territoire, depuis Bechar, une ville du sud-ouest, de 54 réfugiés syriens initialement établis dans le territoire algérien.
«L’ambassadeur du Royaume du Maroc a été reçu, ce jour, par le secrétaire général du ministère des Affaires étrangères», a indiqué à l’agence officielle, APS, le porte-parole des AE, Abdelaziz Benali Chérif.
«Il lui a fait part du rejet par les autorités algériennes des propos totalement infondés mettant indirectement en cause l’Algérie, tenus par son ministre des Affaires étrangères à l’occasion de l’annonce par ce dernier de la rupture des relations diplomatiques entre le Royaume du Maroc et la République islamique d’Iran», a-t-il précisé.
Mardi, le chef de la diplomatie marocaine, cité par les médias de son pays, avait accusé le mouvement chiite Hezbollah de soutenir le front Polisario et en accusant indirectement Alger d’avoir permis le déplacement à Tindouf, région du sud-ouest d’Alger où se trouvent les réfugiés sahraouis, d’instructeurs de ce mouvement.
Ce n’est pas la première fois que des mini-crises diplomatiques et des rappels d’ambassadeurs ponctuent les relations entre Alger et Rabat avec en toile de fond la question sahraouie.
En octobre dernier, l’ambassadeur marocain avait été rappelé dans son pays pendant un mois après des propos du ministre algérien des affaires étrangères, Abdelkader Messahel, accusant les entreprises marocaines de « blanchir l’argent du hachich » en Afrique.
En septembre, Rabat avait rappelé son ambassadeur après qu’elle a accusé l’Algérie d’avoir facilité l’entrée dans son territoire, depuis Bechar, une ville du sud-ouest, de 54 réfugiés syriens initialement établis dans le territoire algérien.