C'est ce qui ressort d'un rapport publié par le site "ALG 24" appartenant à al-Nahar proche de la Présidence, et a également été publié par le journal al-Nahar sur Internet.
Selon la même source, "jusqu'aujourd'hui, il y a trois scénarios concernant l'avenir de Bouteflika; le premier serait la démission. Le deuxième est l’application de l’Article 102, et le troisième serait de quitter ses fonctions dès la fin de son quatrième mandat, le 28 avril prochain".
"Aucun article de la Constitution actuelle ne prévoit une telle situation. Si le report des élections présidentielles pourrait trouver une assise constitutionnelle en l’Article 8, qui stipule que le « Président de la République peut directement recourir à l’expression de la volonté du peuple », le fait qu’il n’y ait pas de successeur au Président sortant laisserait place à un vide constitutionnel et pourrait engendrer une crise des institutions", ajoute la même source.
Cette information, qui n’a pas été officiellement confirmée, intervient un jour après que Bouteflika ait envoyé un message aux Algériens confirmant son adhésion à la feuille de route annoncée il y a quelques jours, à commencer par la prolongation de son mandat, et comprend également une conférence de dialogue menant à un amendement constitutionnel et à de nouvelles élections auxquelles il ne se portera pas candidat.
La lettre a été rejetée lors des manifestations d’étudiants et de médecins, et a été décrite par l’ex-Premier ministre Ali Benflis comme "provocatrice".
Selon la même source, "jusqu'aujourd'hui, il y a trois scénarios concernant l'avenir de Bouteflika; le premier serait la démission. Le deuxième est l’application de l’Article 102, et le troisième serait de quitter ses fonctions dès la fin de son quatrième mandat, le 28 avril prochain".
"Aucun article de la Constitution actuelle ne prévoit une telle situation. Si le report des élections présidentielles pourrait trouver une assise constitutionnelle en l’Article 8, qui stipule que le « Président de la République peut directement recourir à l’expression de la volonté du peuple », le fait qu’il n’y ait pas de successeur au Président sortant laisserait place à un vide constitutionnel et pourrait engendrer une crise des institutions", ajoute la même source.
Cette information, qui n’a pas été officiellement confirmée, intervient un jour après que Bouteflika ait envoyé un message aux Algériens confirmant son adhésion à la feuille de route annoncée il y a quelques jours, à commencer par la prolongation de son mandat, et comprend également une conférence de dialogue menant à un amendement constitutionnel et à de nouvelles élections auxquelles il ne se portera pas candidat.
La lettre a été rejetée lors des manifestations d’étudiants et de médecins, et a été décrite par l’ex-Premier ministre Ali Benflis comme "provocatrice".