
Selon le quotidien francophone Liberté, cinq personnes impliquées dans ce réseau ont été arrêtées et deux autres sont en fuite.
Durant leur audition, ils ont avoué avoir organisé un réseau entre Paris, Tunis et El-Oued (650 Km au sud-est d'Alger). Les véhicules volés étaient acheminés via le sud tunisien pour atterrir en Algérie.
Les ramifications de cette filière qui dépassent les frontières, bénéficient de complicités "y compris en France" selon le journal qui évoque des "véhicules haut de gamme nécessitant la falsification de dossiers de cartes grises, de cartes consulaires, de certificats de résidence et la disponibilité de devises".
Le réseau "sollicitait" des émigrés ou des personnes qui voyagent souvent pour acheminer ces voitures vers les zones frontalières.
Une procédure a été entamée par la Gendarmerie nationale algérienne avec Interpol pour l'identification des véhicules volés.
Durant leur audition, ils ont avoué avoir organisé un réseau entre Paris, Tunis et El-Oued (650 Km au sud-est d'Alger). Les véhicules volés étaient acheminés via le sud tunisien pour atterrir en Algérie.
Les ramifications de cette filière qui dépassent les frontières, bénéficient de complicités "y compris en France" selon le journal qui évoque des "véhicules haut de gamme nécessitant la falsification de dossiers de cartes grises, de cartes consulaires, de certificats de résidence et la disponibilité de devises".
Le réseau "sollicitait" des émigrés ou des personnes qui voyagent souvent pour acheminer ces voitures vers les zones frontalières.
Une procédure a été entamée par la Gendarmerie nationale algérienne avec Interpol pour l'identification des véhicules volés.