"Toutes les mesures ont été prises pour l'accueil de plus de 500 observateurs étrangers" à ces élections a indiqué le ministre des Affaires étrangères algérien Mourad Medelci à la radio publique Chaîne I.
L'Union européenne (UE) en enverra 12, l'Union africaine (UA) 200, la Ligue arabe 100, l'ONU 10 et l'Organisation de la coopération islamique (OCI) 20. Sont également attendues deux autres délégations des ONG Carter et NDA, a-t-il précisé.
"La campagne électorale pour les élections législatives débutera le 15 avril prochain et prendra fin le 6 mai", avait déclaré à l'agence APS le directeur général des libertés publiques et des affaires juridiques du ministère de l'Intérieur et des collectivités locales.
La loi organique précise que "la campagne est déclarée ouverte 25 jours avant la date du scrutin. Elle s'achève trois jours avant la date du scrutin", a précisé le haut fonctionnaire.
Les candidats sont "contraints" de ne pas utiliser de langues étrangères et "tout dépô t de candidature doit être accompagné du programme électoral que ces derniers (candidats) doivent respecter", a-t-il indiqué.
De même, il est "strictement interdit" de recevoir, directement ou indirectement, tout don d'un Etat étranger ou d'une personne physique ou morale de nationalité étrangère.
Les dépenses de campagne pour chaque liste de candidats sont plafonnées à un million de dinars (10.000 euros) par candidat.
La durée des émissions à la télévision et à la radio, qui en Algérie sont publiques, dépendra de l'importance respective du nombre de candidats présentés par un même parti ou groupe de partis politiques ou regroupement de candidats indépendants.
Les lieux de réunion ou de rassemblements sont pré-déterminés par l'Etat.
La publication et la diffusion de sondages seront interdits 72 heures avant le scrutin.
Il est également interdit d'utiliser, sous quelque forme que ce soit, des lieux de culte, institutions, administrations publiques et écoles à des fins de propagande électorale.
Le gouvernement a demandé aux imams il y a quelques jours de faire en sorte que les fidèles accomplissent "leur devoir de citoyen", c'est-à-dire voter, car la première crainte du scrutin est un fort taux d'absentéisme.
La commission électorale a déjà commencé à installer ses sous-commissions dans les 48 départements d'Algérie.
L'Union européenne (UE) en enverra 12, l'Union africaine (UA) 200, la Ligue arabe 100, l'ONU 10 et l'Organisation de la coopération islamique (OCI) 20. Sont également attendues deux autres délégations des ONG Carter et NDA, a-t-il précisé.
"La campagne électorale pour les élections législatives débutera le 15 avril prochain et prendra fin le 6 mai", avait déclaré à l'agence APS le directeur général des libertés publiques et des affaires juridiques du ministère de l'Intérieur et des collectivités locales.
La loi organique précise que "la campagne est déclarée ouverte 25 jours avant la date du scrutin. Elle s'achève trois jours avant la date du scrutin", a précisé le haut fonctionnaire.
Les candidats sont "contraints" de ne pas utiliser de langues étrangères et "tout dépô t de candidature doit être accompagné du programme électoral que ces derniers (candidats) doivent respecter", a-t-il indiqué.
De même, il est "strictement interdit" de recevoir, directement ou indirectement, tout don d'un Etat étranger ou d'une personne physique ou morale de nationalité étrangère.
Les dépenses de campagne pour chaque liste de candidats sont plafonnées à un million de dinars (10.000 euros) par candidat.
La durée des émissions à la télévision et à la radio, qui en Algérie sont publiques, dépendra de l'importance respective du nombre de candidats présentés par un même parti ou groupe de partis politiques ou regroupement de candidats indépendants.
Les lieux de réunion ou de rassemblements sont pré-déterminés par l'Etat.
La publication et la diffusion de sondages seront interdits 72 heures avant le scrutin.
Il est également interdit d'utiliser, sous quelque forme que ce soit, des lieux de culte, institutions, administrations publiques et écoles à des fins de propagande électorale.
Le gouvernement a demandé aux imams il y a quelques jours de faire en sorte que les fidèles accomplissent "leur devoir de citoyen", c'est-à-dire voter, car la première crainte du scrutin est un fort taux d'absentéisme.
La commission électorale a déjà commencé à installer ses sous-commissions dans les 48 départements d'Algérie.