"Les comités de soutien de Khaled Drareni, algérien et international, appellent conjointement les autorités algériennes à revenir à la raison, au droit et à libérer immédiatement et sans conditions Khaled Drareni, dont l'état de santé devient particulièrement préoccupant", a indiqué RSF.
"Il devient urgent de mettre fin au harcèlement judiciaire dont il est la cible, car la procédure inique engagée contre lui met en danger sa santé", est-il ajouté dans le communiqué.
Lors de son procès en appel mardi à Alger, le directeur du site d'information en ligne Casbah Tribune et correspondant de TV5 Monde et RSF en Algérie "est apparu très amaigri, mais aussi très affaibli", affirme RSF.
Le parquet a requis, comme en première instance, quatre années de prison ferme et une amende de 50.000 dinars (330 euros) contre le journaliste qui a rejeté à nouveau catégoriquement les accusations portées contre lui, affirmant avoir simplement fait son métier.
Le verdict est attendu mardi prochain.
Le comité national de soutien à M. Drareni, créé le 12 août, est composé d'avocats, de journalistes, d'associations et de citoyens algériens.
Il organise des rassemblements tous les lundis à Alger qui réunissent à chaque fois des dizaines de journalistes, de militants des droits humains et de sympathisants.
Le comité de soutien international, qui a vu le jour le 23 juillet, a pour sa part lancé une campagne de sensibilisation sous le hashtag #WeAreKhaled.
Incarcéré depuis le 29 mars au centre pénitentiaire de Koléa près d'Alger, Khaled Drareni a été condamné le 10 août à trois ans d'emprisonnement et à une amende de 50.000 dinars (330 euros) pour "incitation à attroupement non armé" et "atteinte à l'unité nationale". Un verdict d'une sévérité sans précédent qui a surpris et indigné ses confrères.
Il avait été arrêté à Alger le 7 mars alors qu'il couvrait une manifestation du "Hirak", le soulèvement populaire qui a secoué l'Algérie pendant plus d'un an jusqu'à sa suspension il y a quelques
L'Algérie figure à la 146e place sur 180 du classement mondial de la liberté de la presse 2020 établi par RSF. Elle a perdu cinq places par rapport à 2019 et 27 par rapport à 2015.
"Il devient urgent de mettre fin au harcèlement judiciaire dont il est la cible, car la procédure inique engagée contre lui met en danger sa santé", est-il ajouté dans le communiqué.
Lors de son procès en appel mardi à Alger, le directeur du site d'information en ligne Casbah Tribune et correspondant de TV5 Monde et RSF en Algérie "est apparu très amaigri, mais aussi très affaibli", affirme RSF.
Le parquet a requis, comme en première instance, quatre années de prison ferme et une amende de 50.000 dinars (330 euros) contre le journaliste qui a rejeté à nouveau catégoriquement les accusations portées contre lui, affirmant avoir simplement fait son métier.
Le verdict est attendu mardi prochain.
Le comité national de soutien à M. Drareni, créé le 12 août, est composé d'avocats, de journalistes, d'associations et de citoyens algériens.
Il organise des rassemblements tous les lundis à Alger qui réunissent à chaque fois des dizaines de journalistes, de militants des droits humains et de sympathisants.
Le comité de soutien international, qui a vu le jour le 23 juillet, a pour sa part lancé une campagne de sensibilisation sous le hashtag #WeAreKhaled.
Incarcéré depuis le 29 mars au centre pénitentiaire de Koléa près d'Alger, Khaled Drareni a été condamné le 10 août à trois ans d'emprisonnement et à une amende de 50.000 dinars (330 euros) pour "incitation à attroupement non armé" et "atteinte à l'unité nationale". Un verdict d'une sévérité sans précédent qui a surpris et indigné ses confrères.
Il avait été arrêté à Alger le 7 mars alors qu'il couvrait une manifestation du "Hirak", le soulèvement populaire qui a secoué l'Algérie pendant plus d'un an jusqu'à sa suspension il y a quelques
L'Algérie figure à la 146e place sur 180 du classement mondial de la liberté de la presse 2020 établi par RSF. Elle a perdu cinq places par rapport à 2019 et 27 par rapport à 2015.