Medelci remplace Tayeb Belaïz désigné mercredi ministre de l'Intérieur lors d'un remaniement ministériel d'une ampleur inédite, a précisé cette source, citée par l'agence de presse APS.
M. Medelci occupait depuis juin 2007 le poste de ministre des Affaires étrangères.
Le Conseil constitutionnel est composé de neuf membres: trois désignés par le président de la République dont le président, deux élus par l'Assemblée populaire nationale, deux élus par le Conseil de la Nation (Sénat), un élu par la Cour suprême, et un élu par le Conseil d'Etat, selon la Constitution.
Le président Bouteflika a procédé mercredi à un important remaniement ministériel et réduit, selon la presse, l'influence des services secrets, considérés comme les réels détenteurs du pouvoir en Algérie.
Ces décisions traduisent sa volonté de briguer un quatrième mandat en 2014, selon les journaux algérien.
Le président Bouteflika, rentré le 16 juillet à Alger après 80 jours d'hospitalisation en France pour un AVC, n'a pas fait d'annonce officielle à propos d'une éventuelle candidature au scrutin, prévu au printemps 2014.
Mais le Front de libération nationale (FLN), parti majoritaire, et d'autres partis politiques membres du gouvernement, comme le Mouvement Populaire Algérien (MPA) et le Rassemblement pour l'Espoir de l'Algérie (TAJ), ont d'ores et déjà annoncé leur soutien à une éventuelle candidature du président pour un quatrième mandat.
M. Medelci occupait depuis juin 2007 le poste de ministre des Affaires étrangères.
Le Conseil constitutionnel est composé de neuf membres: trois désignés par le président de la République dont le président, deux élus par l'Assemblée populaire nationale, deux élus par le Conseil de la Nation (Sénat), un élu par la Cour suprême, et un élu par le Conseil d'Etat, selon la Constitution.
Le président Bouteflika a procédé mercredi à un important remaniement ministériel et réduit, selon la presse, l'influence des services secrets, considérés comme les réels détenteurs du pouvoir en Algérie.
Ces décisions traduisent sa volonté de briguer un quatrième mandat en 2014, selon les journaux algérien.
Le président Bouteflika, rentré le 16 juillet à Alger après 80 jours d'hospitalisation en France pour un AVC, n'a pas fait d'annonce officielle à propos d'une éventuelle candidature au scrutin, prévu au printemps 2014.
Mais le Front de libération nationale (FLN), parti majoritaire, et d'autres partis politiques membres du gouvernement, comme le Mouvement Populaire Algérien (MPA) et le Rassemblement pour l'Espoir de l'Algérie (TAJ), ont d'ores et déjà annoncé leur soutien à une éventuelle candidature du président pour un quatrième mandat.