Cette annonce a été faite à l'issue d'un conseil des ministres présidé mardi par le chef de l'Etat Abdelaziz Bouteflika.
"Un projet d'Ordonnance amendant un texte de loi datant de mars 1997 déterminant les circonscriptions électorales et le nombre de sièges à pourvoir pour l'élection du parlement", a été adopté au cours de la réunion, selon un communiqué gouvernemental.
La hausse du nombre de sièges à l'Assemblée nationale vise également à "réunir les conditions propices pour l'application de la nouvelle législation sur l'augmentation des chances d'accès de la femme à la représentation dans les Assemblées élues", selon les termes du communiqué.
Une loi sur la représentativité de la femme en politique, votée en novembre par le parlement, lui accorde entre 20 et 40% des postes, en fonction de la densité de population locale.
Cet amendement prend également en compte l'accroissement de la population chiffrée à 34,8 millions d'habitants en avril 2008, selon le dernier recensement décennal. Le nombre de sièges à l'Assemblée n'a pas évolué depuis la quatrième législature (1997-2002).
Le Conseil des ministres a également adopté un décret présidentiel sur le fonctionnement de la commission nationale de supervision des élections législatives, composée exclusivement de magistrats désignés par le chef de l'Etat, selon le communiqué.
Elle a été instituée par la nouvelle loi électorale, promulguée le 12 janvier, en réponse à "une large demande des partis et personnalités politiques".
Cette commission a pour mission de "superviser les opérations électorales du dépô t des candidatures au parachèvement du scrutin", a précisé le communiqué. "J'attends (...) du gouvernement et notamment de la Commission nationale chargée de la préparation des élections législatives, de parachever l'ensemble des dispositions organisationnelles, matérielles et logistiques nécessaires au bon déroulement des élections législatives", a déclaré M. Bouteflika à l'issue de l'adoption de ces deux textes.
M. Bouteflika avait annoncé le 18 décembre que ces législatives, prévues durant la première quinzaine du mois de mai, seraient ouvertes aux observateurs pour garantir leur transparence, car l'opposition dénonce systématiquement des fraudes en faveur des partis au pouvoir depuis l'instauration du multipartisme en 1989.
"Un projet d'Ordonnance amendant un texte de loi datant de mars 1997 déterminant les circonscriptions électorales et le nombre de sièges à pourvoir pour l'élection du parlement", a été adopté au cours de la réunion, selon un communiqué gouvernemental.
La hausse du nombre de sièges à l'Assemblée nationale vise également à "réunir les conditions propices pour l'application de la nouvelle législation sur l'augmentation des chances d'accès de la femme à la représentation dans les Assemblées élues", selon les termes du communiqué.
Une loi sur la représentativité de la femme en politique, votée en novembre par le parlement, lui accorde entre 20 et 40% des postes, en fonction de la densité de population locale.
Cet amendement prend également en compte l'accroissement de la population chiffrée à 34,8 millions d'habitants en avril 2008, selon le dernier recensement décennal. Le nombre de sièges à l'Assemblée n'a pas évolué depuis la quatrième législature (1997-2002).
Le Conseil des ministres a également adopté un décret présidentiel sur le fonctionnement de la commission nationale de supervision des élections législatives, composée exclusivement de magistrats désignés par le chef de l'Etat, selon le communiqué.
Elle a été instituée par la nouvelle loi électorale, promulguée le 12 janvier, en réponse à "une large demande des partis et personnalités politiques".
Cette commission a pour mission de "superviser les opérations électorales du dépô t des candidatures au parachèvement du scrutin", a précisé le communiqué. "J'attends (...) du gouvernement et notamment de la Commission nationale chargée de la préparation des élections législatives, de parachever l'ensemble des dispositions organisationnelles, matérielles et logistiques nécessaires au bon déroulement des élections législatives", a déclaré M. Bouteflika à l'issue de l'adoption de ces deux textes.
M. Bouteflika avait annoncé le 18 décembre que ces législatives, prévues durant la première quinzaine du mois de mai, seraient ouvertes aux observateurs pour garantir leur transparence, car l'opposition dénonce systématiquement des fraudes en faveur des partis au pouvoir depuis l'instauration du multipartisme en 1989.