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C'est ce qui ressort d'un communiqué de la Présidence algérienne publié sur sa page Facebook.
Le communiqué indique que le Président Abdelmadjid Tebboune a reçu, lundi, Mohamed Sharafi, chef de l'Autorité nationale indépendante pour les élections, “qui lui a fait une présentation sur les préparatifs en cours pour l'organisation du référendum sur le projet d'amendement à la Constitution”.
“Au cours de cette réunion et à la lumière des consultations du Président avec les autorités concernées, il a été décidé de choisir le 1er novembre 2020 comme date du référendum sur le projet de Constitution”, rapporte le communiqué.
En effet, le 1er novembre est une date symbolique en Algérie, car il marque le 66ème anniversaire du déclenchement de la révolution de libération contre le colonialisme français en 1954 et a duré jusqu'en 1962.
Il y a quelques jours, le Président algérien avait appelé les institutions étatiques compétentes à lancer les préparatifs en vue de la tenue d'un référendum populaire sur un projet d’amendement constitutionnel.
“Le changement radical exigé par le mouvement béni (manifestations de février 2019) passe par la constitution et non par des décisions dans des bureaux fermés”, avait-il, ainsi, indiqué.
L’amendement constitutionnel comprend l’élargissement des pouvoirs du Premier ministre et la levée de l’interdiction pour l’armée de mener des opérations hors des frontières pour la première fois.
Le communiqué indique que le Président Abdelmadjid Tebboune a reçu, lundi, Mohamed Sharafi, chef de l'Autorité nationale indépendante pour les élections, “qui lui a fait une présentation sur les préparatifs en cours pour l'organisation du référendum sur le projet d'amendement à la Constitution”.
“Au cours de cette réunion et à la lumière des consultations du Président avec les autorités concernées, il a été décidé de choisir le 1er novembre 2020 comme date du référendum sur le projet de Constitution”, rapporte le communiqué.
En effet, le 1er novembre est une date symbolique en Algérie, car il marque le 66ème anniversaire du déclenchement de la révolution de libération contre le colonialisme français en 1954 et a duré jusqu'en 1962.
Il y a quelques jours, le Président algérien avait appelé les institutions étatiques compétentes à lancer les préparatifs en vue de la tenue d'un référendum populaire sur un projet d’amendement constitutionnel.
“Le changement radical exigé par le mouvement béni (manifestations de février 2019) passe par la constitution et non par des décisions dans des bureaux fermés”, avait-il, ainsi, indiqué.
L’amendement constitutionnel comprend l’élargissement des pouvoirs du Premier ministre et la levée de l’interdiction pour l’armée de mener des opérations hors des frontières pour la première fois.
