Le baril de pétrole a "perdu 30 dollars (...) en quelques mois, 30 dollars c'est une chute drastique et sur une année cela représente pour nous entre 18 et 20 milliards de dollars de revenus en moins", a déclaré M. Yousfi à la radio publique, en évoquant une situation "inquiétante".
Le prix du baril a fortement chuté depuis le début de l'année. S'il avoisinait les 110 dollars en février à New York, le baril s'échangeait mardi à la clô ture à 87,66 dollars.
La Banque d'Algérie avait estimé dimanche que le budget de l'Algérie ne serait à l'équilibre que si le baril de pétrole dépassait 110 dollars tandis que le ministre des Finances Karim Djoudi a prô né lundi une "approche beaucoup plus prudente en matière de dépenses" publiques.
M. Yousfi a toutefois précisé que "la baisse du prix du pétrole n'impactera en aucun cas les projets d'investissements en équipements lancés par le gouvernement".
La baisse du prix de pétrole "ne doit pas remettre en cause nos investissements. Le ministre des Finances visait les dépenses de fonctionnement. Il n'a jamais évoqué une baisse des investissements du pays en matière d'équipements, (dans ce cas) c'est toute la croissance qui s'arrêterait", a-t-il précisé.
M. Yousfi a estimé que "l'excès de l'offre de brut sur le marché et des facteurs politiques, ayant poussé certains pays à accroître leur production, étaient à l'origine de la baisse drastique des cours".
Le prix du baril a fortement chuté depuis le début de l'année. S'il avoisinait les 110 dollars en février à New York, le baril s'échangeait mardi à la clô ture à 87,66 dollars.
La Banque d'Algérie avait estimé dimanche que le budget de l'Algérie ne serait à l'équilibre que si le baril de pétrole dépassait 110 dollars tandis que le ministre des Finances Karim Djoudi a prô né lundi une "approche beaucoup plus prudente en matière de dépenses" publiques.
M. Yousfi a toutefois précisé que "la baisse du prix du pétrole n'impactera en aucun cas les projets d'investissements en équipements lancés par le gouvernement".
La baisse du prix de pétrole "ne doit pas remettre en cause nos investissements. Le ministre des Finances visait les dépenses de fonctionnement. Il n'a jamais évoqué une baisse des investissements du pays en matière d'équipements, (dans ce cas) c'est toute la croissance qui s'arrêterait", a-t-il précisé.
M. Yousfi a estimé que "l'excès de l'offre de brut sur le marché et des facteurs politiques, ayant poussé certains pays à accroître leur production, étaient à l'origine de la baisse drastique des cours".