
Ces Chinois, qui participaient à la construction d'une prison à Abadla dans le département de Bechar, à 1.000 km au sud-ouest d'Alger, refusaient de regagner leur pays après l'expiration de leur contrats de travail en Algérie, selon le quotidien arabophone.
Ils ont fermé une route nationale à trois reprises et saccagé des équipements appartenant à la société qui les employait, a précisé le journal.
Ils avaient remplacé un an auparavant un groupe d'ouvriers chinois qui venait de quitter l'Algérie. Ils devaient à leur tour regagner leur pays et céder la place à d'autres compatriotes, a précisé le quotidien arabophone.
Les protestataires, qui ont comparu mardi devant le tribunal de Bechar, doivent être conduits à Alger avant d'être rapatriés en Chine, selon le journal.
Près de 50.000 étrangers travaillent en Algérie dont 45% de Chinois, particulièrement sur les chantiers du bâtiment et des travaux publics, fort nombreux dans la capitale et ses environs ainsi que dans toutes les grandes agglomérations du pays.
Ils ont fermé une route nationale à trois reprises et saccagé des équipements appartenant à la société qui les employait, a précisé le journal.
Ils avaient remplacé un an auparavant un groupe d'ouvriers chinois qui venait de quitter l'Algérie. Ils devaient à leur tour regagner leur pays et céder la place à d'autres compatriotes, a précisé le quotidien arabophone.
Les protestataires, qui ont comparu mardi devant le tribunal de Bechar, doivent être conduits à Alger avant d'être rapatriés en Chine, selon le journal.
Près de 50.000 étrangers travaillent en Algérie dont 45% de Chinois, particulièrement sur les chantiers du bâtiment et des travaux publics, fort nombreux dans la capitale et ses environs ainsi que dans toutes les grandes agglomérations du pays.