Dans la nouvelle ville de Tizi Ouzou, à 110 km à l'est d'Alger, deux hommes armés ont été tués, l'un d'eux sur le coup, et un troisième abattu alors qu'il sortait d'une pharmacie muni de médicaments, selon le quotidien El-Watan.
Plusieurs armes ont été récupérées par les forces de sécurité à l'issue de l'opération, a notamment précisé le journal. Un témoin a déclaré qu'"un terroriste était sorti de la voiture avec une ordonnance, est rentré dans la pharmacie pour acheter des médicaments. A sa sortie il a été criblé de balles".
"Puis on a entendu des échanges de coups de feu". Un autre de ses camarades a été tué, l'autre grièvement blessé, selon ce témoin. Il est décédé par la suite, selon des sources sécuritaires.
Par ailleurs, à 60 km à l'ouest de Tizi Ouzou, trois autres islamistes armés ont été abattus dans l'après-midi lors d'un ratissage lancé mardi matin par les forces de sécurité notamment à l'aide d'un hélicoptère dans le maquis de Yakounen, a indiqué le quotidien Le Temps.
El-Watan précise qu'un important groupe de l'ex-Groupe salafiste pour la prédication et le combat (GSPC, devenu Al-Qaïda au Maghreb islamique) avait été signalé dans la région.
La Kabylie reste la cible de violences des islamistes d'Aqmi et d'enlèvements crapuleux pour les financer.
Le patron de la police algérienne, le général Abdelghani Hamel, avait déclaré au journal El-Khabar de mardi que "la menace terroriste" restait présente dans toutes les régions du pays, "obligeant les forces de l'ordre à multiplier les mesures préventives".
Après la fin de la décennie noire de guerre civile entre forces de sécurité et islamistes au milieu des années 2000, le président Abdelaziz Bouteflika a instauré une réconciliation nationale accordant l'amnistie en échange d'une reddition.
Les violences se sont ensuite considérablement calmées mais la situation dans l'est et dans le sud algérien depuis le conflit libyen reste préoccupante.
Plusieurs armes ont été récupérées par les forces de sécurité à l'issue de l'opération, a notamment précisé le journal. Un témoin a déclaré qu'"un terroriste était sorti de la voiture avec une ordonnance, est rentré dans la pharmacie pour acheter des médicaments. A sa sortie il a été criblé de balles".
"Puis on a entendu des échanges de coups de feu". Un autre de ses camarades a été tué, l'autre grièvement blessé, selon ce témoin. Il est décédé par la suite, selon des sources sécuritaires.
Par ailleurs, à 60 km à l'ouest de Tizi Ouzou, trois autres islamistes armés ont été abattus dans l'après-midi lors d'un ratissage lancé mardi matin par les forces de sécurité notamment à l'aide d'un hélicoptère dans le maquis de Yakounen, a indiqué le quotidien Le Temps.
El-Watan précise qu'un important groupe de l'ex-Groupe salafiste pour la prédication et le combat (GSPC, devenu Al-Qaïda au Maghreb islamique) avait été signalé dans la région.
La Kabylie reste la cible de violences des islamistes d'Aqmi et d'enlèvements crapuleux pour les financer.
Le patron de la police algérienne, le général Abdelghani Hamel, avait déclaré au journal El-Khabar de mardi que "la menace terroriste" restait présente dans toutes les régions du pays, "obligeant les forces de l'ordre à multiplier les mesures préventives".
Après la fin de la décennie noire de guerre civile entre forces de sécurité et islamistes au milieu des années 2000, le président Abdelaziz Bouteflika a instauré une réconciliation nationale accordant l'amnistie en échange d'une reddition.
Les violences se sont ensuite considérablement calmées mais la situation dans l'est et dans le sud algérien depuis le conflit libyen reste préoccupante.