"L'un des assaillants tués avait travaillé comme chauffeur pour l'une des entreprises opérant à l'intérieur du complexe", a déclaré cette source à l'AFP, en précisant qu'il avait "démissionné il y a un an".
Cette source n'a pas été en mesure de préciser qui avait été l'employeur de l'assaillant, mais a indiqué que son corps avait été reconnu par des employés sur le site.
Les forces spéciales algériennes avaient lancé au moins deux assauts, l'un jeudi pour libérer les otages retenus dans la zone d'hébergement du complexe, l'autre, final, samedi en milieu de matinée, contre l'usine où étaient retranchés des assaillants avec sept otages étrangers abattus par leur ravisseurs.
Un bilan encore provisoire annoncé lundi par le Premier ministre Abdelmalek Sellal fait état de 37 otages étrangers et un otage algérien tués, 29 assaillants abattus et trois découverts vivants par les forces spéciales. Cinq étrangers sont encore portés disparus et sept corps restaient encore non identifiés lundi. La plupart des otages ont été abattus d'une balle dans la tête.
Par ailleurs, le Japon demande expressément à l'Algérie de lui fournir des informations sur les trois Japonais toujours manquants et les circonstances dans lesquelles sept autres ont été tués la semaine dernière à In Amenas, a indiqué mercredi un responsable japonais.
Un avion gouvernemental japonais a atterri mercredi matin à Alger avec un vice-ministre des Affaires étrangères, Shunichi Suzuki, porteur d'une lettre en ce sens du Premier ministre Shinzo Abe à l'attention du président algérien Abdelaziz Bouteflika, a expliqué le porte-parole du gouvernement, Yoshihide Suga. "M. Suzuki doit rencontrer mercredi à 14H30 (15H30 GMT) le Premier ministre algérien, Abdelmalek Sellal", a-t-il ajouté.
Cet avion devrait rapatrier rapidement les dépouilles des sept Japonais tués par les islamistes armés qui avaient attaqué le site d'In Amenas, ainsi que leurs compatriotes qui ont survécu.
Cette source n'a pas été en mesure de préciser qui avait été l'employeur de l'assaillant, mais a indiqué que son corps avait été reconnu par des employés sur le site.
Les forces spéciales algériennes avaient lancé au moins deux assauts, l'un jeudi pour libérer les otages retenus dans la zone d'hébergement du complexe, l'autre, final, samedi en milieu de matinée, contre l'usine où étaient retranchés des assaillants avec sept otages étrangers abattus par leur ravisseurs.
Un bilan encore provisoire annoncé lundi par le Premier ministre Abdelmalek Sellal fait état de 37 otages étrangers et un otage algérien tués, 29 assaillants abattus et trois découverts vivants par les forces spéciales. Cinq étrangers sont encore portés disparus et sept corps restaient encore non identifiés lundi. La plupart des otages ont été abattus d'une balle dans la tête.
Par ailleurs, le Japon demande expressément à l'Algérie de lui fournir des informations sur les trois Japonais toujours manquants et les circonstances dans lesquelles sept autres ont été tués la semaine dernière à In Amenas, a indiqué mercredi un responsable japonais.
Un avion gouvernemental japonais a atterri mercredi matin à Alger avec un vice-ministre des Affaires étrangères, Shunichi Suzuki, porteur d'une lettre en ce sens du Premier ministre Shinzo Abe à l'attention du président algérien Abdelaziz Bouteflika, a expliqué le porte-parole du gouvernement, Yoshihide Suga. "M. Suzuki doit rencontrer mercredi à 14H30 (15H30 GMT) le Premier ministre algérien, Abdelmalek Sellal", a-t-il ajouté.
Cet avion devrait rapatrier rapidement les dépouilles des sept Japonais tués par les islamistes armés qui avaient attaqué le site d'In Amenas, ainsi que leurs compatriotes qui ont survécu.