Il a été décidé pour Alger "un confinement de 19 heures (jusqu')au lendemain à 7 heures du matin", qui sera étendu à toutes les villes où est apparu le coronavirus, est-il précisé dans un communiqué de la présidence. Celui-ci a été publié à l'issue d'une réunion d'un Haut conseil de sécurité consacrée à la pandémie.
Le communiqué évite le mot "couvre-feu", qui évoquerait la guerre civile de la décennie noire (1992-2002) et ses 200.000 morts.
Le Haut conseil de sécurité, présidé par le président Tebboune, a également instauré "un confinement total, à domicile, pour une durée de dix jours renouvelable, avec interdiction de circulation de et vers la wilaya (préfecture)" de Blida, au sud d'Alger.
Dix-sept décès ont été confirmés en Algérie depuis l'enregistrement du premier cas de Covid-19 fin février, selon le porte-parole du Comité scientifique de suivi de l'évolution de la pandémie, le docteur Djamel Fourar.
Au total 230 cas ont été officiellement confirmés sur le sol algérien.
Les foyers principaux sont la région de Blida (125 cas), où une famille entière a été contaminée en lien avec les cas avérés de ressortissants algériens en France rentrés à Blida pour un mariage, et la capitale Alger.
Les dirigeants algériens ont également décrété l'interdiction de tout rassemblement de plus de deux personnes et l'interdiction de circulation des taxis à travers tout le territoire. En cas d'infraction, la licence de taxi sera retirée.
Mais ils se sont abstenus jusqu'à présent d'imposer un confinement national malgré les nombreux appels en ce sens sur les réseaux sociaux.
L'Algérie avait déjà décidé jeudi la fermeture des cafés et restaurants dans les grandes villes, la suspension de tous les moyens de transport en commun publics et privés à l'intérieur des villes et entre les wilayas (préfectures), ainsi que du trafic ferroviaire.
Le pays a aussi décrété la fermeture des écoles, des stades, des mosquées et de tous les lieux de rassemblements comme les salles des fêtes, ainsi que l'interdiction des manifestations et la suspension de toutes les liaisons aériennes et maritimes.
Le communiqué évite le mot "couvre-feu", qui évoquerait la guerre civile de la décennie noire (1992-2002) et ses 200.000 morts.
Le Haut conseil de sécurité, présidé par le président Tebboune, a également instauré "un confinement total, à domicile, pour une durée de dix jours renouvelable, avec interdiction de circulation de et vers la wilaya (préfecture)" de Blida, au sud d'Alger.
Dix-sept décès ont été confirmés en Algérie depuis l'enregistrement du premier cas de Covid-19 fin février, selon le porte-parole du Comité scientifique de suivi de l'évolution de la pandémie, le docteur Djamel Fourar.
Au total 230 cas ont été officiellement confirmés sur le sol algérien.
Les foyers principaux sont la région de Blida (125 cas), où une famille entière a été contaminée en lien avec les cas avérés de ressortissants algériens en France rentrés à Blida pour un mariage, et la capitale Alger.
Les dirigeants algériens ont également décrété l'interdiction de tout rassemblement de plus de deux personnes et l'interdiction de circulation des taxis à travers tout le territoire. En cas d'infraction, la licence de taxi sera retirée.
Mais ils se sont abstenus jusqu'à présent d'imposer un confinement national malgré les nombreux appels en ce sens sur les réseaux sociaux.
L'Algérie avait déjà décidé jeudi la fermeture des cafés et restaurants dans les grandes villes, la suspension de tous les moyens de transport en commun publics et privés à l'intérieur des villes et entre les wilayas (préfectures), ainsi que du trafic ferroviaire.
Le pays a aussi décrété la fermeture des écoles, des stades, des mosquées et de tous les lieux de rassemblements comme les salles des fêtes, ainsi que l'interdiction des manifestations et la suspension de toutes les liaisons aériennes et maritimes.