Il s'agissait d'un Boeing 737 avec à son bord 172 passagers.
La compagnie aérienne a indiqué lundi par l'intermédiaire de son porte-parole que les passagers avaient "réagi de façon excessive", même si cette attitude demeurait "compréhensible" après le crash d'un appareil en août, à Madrid, alors qu'il se trouvait en phase de décollage.
Selon Air Berlin, le capitaine du vol a renoncé une première fois à s'élever dans les airs en raison d'un tableau de bord défaillant. Invités à descendre de l'appareil, les passagers ont dû patienter une heure avant d'embarquer une seconde fois.
Prêts à décoller, ces derniers ont perdu leurs nerfs quelques minutes plus tard après avoir appris que l'apprareil allait de nouveau être immoblisé, l'un des passagers s'étant évanoui.
Irrités par ce nouveau désagrément, les occupants du vol ont par la suite rédigé une pétition afin de changer d'appareil, et ont obtenu gain de cause. (Version française Olivier Guillemain)
La compagnie aérienne a indiqué lundi par l'intermédiaire de son porte-parole que les passagers avaient "réagi de façon excessive", même si cette attitude demeurait "compréhensible" après le crash d'un appareil en août, à Madrid, alors qu'il se trouvait en phase de décollage.
Selon Air Berlin, le capitaine du vol a renoncé une première fois à s'élever dans les airs en raison d'un tableau de bord défaillant. Invités à descendre de l'appareil, les passagers ont dû patienter une heure avant d'embarquer une seconde fois.
Prêts à décoller, ces derniers ont perdu leurs nerfs quelques minutes plus tard après avoir appris que l'apprareil allait de nouveau être immoblisé, l'un des passagers s'étant évanoui.
Irrités par ce nouveau désagrément, les occupants du vol ont par la suite rédigé une pétition afin de changer d'appareil, et ont obtenu gain de cause. (Version française Olivier Guillemain)