Un demandeur d'asile irakien de 20 ans a "importuné sexuellement" vendredi soir une jeune femme tandis que dans la nuit de samedi à dimanche, trois Afghans de 18 à 20 ans ont maintenu une jeune fille de 17 ans et se sont livrés à des attouchements sur elle, a indiqué un responsable de la police locale, Roland Eisele, lors d'une conférence de presse à Schorndorf, lieu des incidents.
Les suspects ont été interpellés mais la justice ne les a pas placés en détention, dans l'attente des suites de l'enquête, a ajouté M. Eisele.
Un communiqué de la police parle de 3 agressions sexuelles à ce stade. Mais le responsable de la police a appelé les victimes potentielles d'attouchements à se signaler à la police.
"Beaucoup de gens d'origine étrangère étaient dans ces groupes, mais pas exclusivement", a-t-il souligné à propos des jeunes mis en cause lors des incidents. Il a indiqué ne pas être en mesure de dire quelle proportion des agresseurs étaient des migrants.
Les échauffourées ont éclaté dans la nuit de samedi à dimanche entre la police et des groupes de plusieurs dizaines de jeunes, qui s'étaient extrait d'une foule d'un millier de personnes venues participer à la fête populaire annuelle de la ville de 40.000 habitants.
Ils ont alors lancé des bouteilles contre la police et d'autres spectateurs, a indiqué le chef de la police locale, ajoutant que plusieurs des agresseurs étaient alcoolisés.
Il y a eu "une agression, une escalade et une violence qui n'était pas prévisible", la situation a été à certains moment "hors de contrôle" et les forces de l'ordre ont dû appeler des renforts pour "doubler" leurs effectifs , a-t-il ajouté.
Des témoignages auprès de la police font également état de "quelques jeunes" ayant parcouru ensuite les rues de la ville armés pour certains de couteaux et pour l'un d'entre eux d'un pistolet d'alarme, selon M. Eisele.
Les agressions sexuelles commises lors de cette fête populaire évoquent, bien que dans une ampleur bien moindre à ce stade, la vague d'agressions commises à Cologne contre des femmes par des migrants le soir de la Saint-Sylvestre 2015, année au cours de laquelle l'Allemagne avait accueilli 890.000 demandeurs d'asile.
Quelque 1.200 plaintes avaient été déposées, dont plus de 500 pour agression sexuelle.
Les suspects ont été interpellés mais la justice ne les a pas placés en détention, dans l'attente des suites de l'enquête, a ajouté M. Eisele.
Un communiqué de la police parle de 3 agressions sexuelles à ce stade. Mais le responsable de la police a appelé les victimes potentielles d'attouchements à se signaler à la police.
"Beaucoup de gens d'origine étrangère étaient dans ces groupes, mais pas exclusivement", a-t-il souligné à propos des jeunes mis en cause lors des incidents. Il a indiqué ne pas être en mesure de dire quelle proportion des agresseurs étaient des migrants.
Les échauffourées ont éclaté dans la nuit de samedi à dimanche entre la police et des groupes de plusieurs dizaines de jeunes, qui s'étaient extrait d'une foule d'un millier de personnes venues participer à la fête populaire annuelle de la ville de 40.000 habitants.
Ils ont alors lancé des bouteilles contre la police et d'autres spectateurs, a indiqué le chef de la police locale, ajoutant que plusieurs des agresseurs étaient alcoolisés.
Il y a eu "une agression, une escalade et une violence qui n'était pas prévisible", la situation a été à certains moment "hors de contrôle" et les forces de l'ordre ont dû appeler des renforts pour "doubler" leurs effectifs , a-t-il ajouté.
Des témoignages auprès de la police font également état de "quelques jeunes" ayant parcouru ensuite les rues de la ville armés pour certains de couteaux et pour l'un d'entre eux d'un pistolet d'alarme, selon M. Eisele.
Les agressions sexuelles commises lors de cette fête populaire évoquent, bien que dans une ampleur bien moindre à ce stade, la vague d'agressions commises à Cologne contre des femmes par des migrants le soir de la Saint-Sylvestre 2015, année au cours de laquelle l'Allemagne avait accueilli 890.000 demandeurs d'asile.
Quelque 1.200 plaintes avaient été déposées, dont plus de 500 pour agression sexuelle.