Guterres a affirmé sur le réseau social Twitter que l’option militaire n’est pas envisageable en Libye et que le dialogue entre libyens est le seul moyen pouvant résoudre la crise. Il a également appelé toutes les parties au calme et à l’apaisement.
Guterres est arrivé en Libye, mercredi, en provenance du Caire dans le cadre d’une tournée régionale.
Fayez el-Sarraj, président du Conseil présidentiel du Gouvernement d’entente nationale libyen a décrété, mercredi, "l’état d’alerte générale" au sein des forces de police et de l’armée. Cette mesure intervient en réaction à des manœuvres des forces du maréchal Khalifa Haftar, l'homme fort sur le terrain, à proximité de Tripoli.
El-Sarraj a appelé, en sa qualité de commandant de l’armée, à contrer toute action des organisations terroristes et criminelles ou des groupes mercenaires hors-la-loi menaçant la sécurité de la région.
Les forces de Khalifa Haftar ont annoncé avoir menée des actions militaires contre des groupes terroristes dans l’ouest de la Libye. Il s’agirait, en réalité, de groupes alliés au gouvernement d’entente nationale.
El-Sarraj a également affirmé qu’il a toujours appelé au calme et à l’apaisement, ajoutant que l’état d’alerte générale a été décrété pour faire face aux provocations des forces d'Haftar et à la menace qu’elles représentent. Il estime, néanmoins, que l’alternative militaire ne peut constituer une solution à la crise libyenne.
Les forces d'Haftar, stationnées à proximité de la capitale libyenne, Tripoli, ont multiplié récemment les manœuvres militaires après la prise de contrôle de plusieurs régions et de grandes villes dans le sud-ouest du pays.
El-Sarraj a qualifié de "préméditée" l'escalade amorcée par les forces d'Haftar qui intervient quelques jours avant la tenue d'un congrès du dialogue national, du 14 au 16 avril à Ghadamès, sous l'égide des Nations unies.
Un congrès qui constitue pour beaucoup de libyens, l'espoir d'une résolution de la crise et une opportunité pour unifier les institutions du pays et mettre en place des futures élections.
Guterres est arrivé en Libye, mercredi, en provenance du Caire dans le cadre d’une tournée régionale.
Fayez el-Sarraj, président du Conseil présidentiel du Gouvernement d’entente nationale libyen a décrété, mercredi, "l’état d’alerte générale" au sein des forces de police et de l’armée. Cette mesure intervient en réaction à des manœuvres des forces du maréchal Khalifa Haftar, l'homme fort sur le terrain, à proximité de Tripoli.
El-Sarraj a appelé, en sa qualité de commandant de l’armée, à contrer toute action des organisations terroristes et criminelles ou des groupes mercenaires hors-la-loi menaçant la sécurité de la région.
Les forces de Khalifa Haftar ont annoncé avoir menée des actions militaires contre des groupes terroristes dans l’ouest de la Libye. Il s’agirait, en réalité, de groupes alliés au gouvernement d’entente nationale.
El-Sarraj a également affirmé qu’il a toujours appelé au calme et à l’apaisement, ajoutant que l’état d’alerte générale a été décrété pour faire face aux provocations des forces d'Haftar et à la menace qu’elles représentent. Il estime, néanmoins, que l’alternative militaire ne peut constituer une solution à la crise libyenne.
Les forces d'Haftar, stationnées à proximité de la capitale libyenne, Tripoli, ont multiplié récemment les manœuvres militaires après la prise de contrôle de plusieurs régions et de grandes villes dans le sud-ouest du pays.
El-Sarraj a qualifié de "préméditée" l'escalade amorcée par les forces d'Haftar qui intervient quelques jours avant la tenue d'un congrès du dialogue national, du 14 au 16 avril à Ghadamès, sous l'égide des Nations unies.
Un congrès qui constitue pour beaucoup de libyens, l'espoir d'une résolution de la crise et une opportunité pour unifier les institutions du pays et mettre en place des futures élections.