Cette affirmation, envoyée dans un premier temps par Al Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) à l'Agence Nouakchott d'Information, ne peut être vérifiée de manière indépendante.
Le 24 juin, une dure bataille s'était produite dans la forêt de Wagadou au Mali, près de la frontière mauritanienne, au cours de laquelle, selon la version officielle de Nouakchott, 15 islamistes et
deux soldats gouvernementaux avaient été tués.
D'après la version en arabe d'Aqmi rapportée par SITE, une vingtaine de soldats ont trouvé la mort et 12 véhicules ont été incendiés et détruits.
Aqmi aurait perdu deux de ses hommes dans l'affrontement, qui a permis de récupérer des armes légères.
Le raid de Wagadou semble être une opération conjointe menée par le Mali et la Mauritanie, deux pays voisins qui entretiennent des relations délicates en raison de préc édents raids
mauritaniens en territoire malien.
Les pays de la bande sahélo-saharienne sont confrontés à une menace croissante de groupes djihadistes liés à Aqmi, un mouvement issu de la mouvance salafiste algérienne.
Ces dernières années, Aqmi a étendu sa zone d'action dans tout le Sahel, se finançant notamment grâce à des prises d'otages et des prélèvements sur le trafic de drogue latino-américain
destinée à l'Europe et qui transite par cette région aux frontières très poreuses.
Le 24 juin, une dure bataille s'était produite dans la forêt de Wagadou au Mali, près de la frontière mauritanienne, au cours de laquelle, selon la version officielle de Nouakchott, 15 islamistes et
deux soldats gouvernementaux avaient été tués.
D'après la version en arabe d'Aqmi rapportée par SITE, une vingtaine de soldats ont trouvé la mort et 12 véhicules ont été incendiés et détruits.
Aqmi aurait perdu deux de ses hommes dans l'affrontement, qui a permis de récupérer des armes légères.
Le raid de Wagadou semble être une opération conjointe menée par le Mali et la Mauritanie, deux pays voisins qui entretiennent des relations délicates en raison de préc édents raids
mauritaniens en territoire malien.
Les pays de la bande sahélo-saharienne sont confrontés à une menace croissante de groupes djihadistes liés à Aqmi, un mouvement issu de la mouvance salafiste algérienne.
Ces dernières années, Aqmi a étendu sa zone d'action dans tout le Sahel, se finançant notamment grâce à des prises d'otages et des prélèvements sur le trafic de drogue latino-américain
destinée à l'Europe et qui transite par cette région aux frontières très poreuses.