Les personnes relâchées sont toutes originaires de la région chiite d'Al-Qatif.
Elles avaient été arrêtées au cours des manifestations appuyant le soulèvement mené par la majorité chiite à Bahreïn et dénonçant l'intervention des troupes saoudiennes dans ce pays voisin, qui avaient secoué la province orientale du royaume à partir de mars.
Au total, 332 personnes ont été arrêtées au cours de ces troubles, mais une trentaine seulement demeurent détenues, selon les militants.
La province orientale avait de nouveau connu des troubles début octobre, lorsque 14 personnes, parmi lesquelles 11 policiers, avaient été blessées au cours d'affrontements entre les forces de l'ordre et des manifestants dans la localité chiite d'Awamiya.
Les autorités avaient accusé des "fauteurs de troubles" d'être à l'origine de ces violences et d'agir "à l'instigation d'un pays étranger", dans une allusion à l'Iran.
La majorité des quelque deux millions de chiites saoudiens vivent dans la province orientale riche en pétrole et se plaignent d'être marginalisés.
Elles avaient été arrêtées au cours des manifestations appuyant le soulèvement mené par la majorité chiite à Bahreïn et dénonçant l'intervention des troupes saoudiennes dans ce pays voisin, qui avaient secoué la province orientale du royaume à partir de mars.
Au total, 332 personnes ont été arrêtées au cours de ces troubles, mais une trentaine seulement demeurent détenues, selon les militants.
La province orientale avait de nouveau connu des troubles début octobre, lorsque 14 personnes, parmi lesquelles 11 policiers, avaient été blessées au cours d'affrontements entre les forces de l'ordre et des manifestants dans la localité chiite d'Awamiya.
Les autorités avaient accusé des "fauteurs de troubles" d'être à l'origine de ces violences et d'agir "à l'instigation d'un pays étranger", dans une allusion à l'Iran.
La majorité des quelque deux millions de chiites saoudiens vivent dans la province orientale riche en pétrole et se plaignent d'être marginalisés.